A l'observatoire des Aigrettes
Publié le 8 Mars 2015
Les sarcelles d'hiver n'étaient pas en reste. Si le mâle est facilement reconnaissable, la femelle ne s'identifie que grâce à son miroir alaire vert.
Chez les hivernants, encore trois nettes rousses (les spécialistes auront débusqué la femelle un peu cachée à gauche des deux mâles).
J'étais venu en espérant un coup de chance avec le martin-pêcheur à proximité de l'observatoire ou le butor étoilé. Ce dernier aurait été présent toute la matinée à portée de 300 mm mais ne s'est pas montré l'après-midi. Faut dire qu'un dimanche aprem, pour un oiseau aussi "peureux", avec l'activité qu'il y a autour du lac du Bourget et le nombre de gens qui ne respectent pas la zone de silence, par inconscience... Fallait être un peu con pour aller là-bas un dimanche aprem. Mais j'ai quand même passé un bon moment.