Trêve
Publié le 16 Juillet 2015
Allez, on quitte un moment la montagne pour aller au bord de l'océan. Je ne suis pas un grand amateur d'eau, piètre nageur même mais la mer, c'est un peu le pendant de la montagne. Dans les activités sportives, l'athlète, l'amateur de sport co, peuvent dire "stop" en cas de blessure, de fatigue. Le randonneur, le grimpeur comme le marin se doivent d'abord de revenir à bon port (c'est le cas de le dire) avant de se poser, même si de nos jours dans nos sociétés occidentales, les secours ont sensiblement réduit l'engagement. Il reste que lorsque les conditions météo sont déplorables, la mer est (au moins) aussi engagée que la montagne. Et tant qu'à aller en mer, direction l'océan et si possible sauvage.
Très peu pour moi les plages bondées de Méditerrannée mais si il en existe de fort belles. Avec un paramètre que je trouve extrêmement intéressant : la marée.
Pour la troisième fois en dix ans, diection la Bretagne pour une petite quinzaine. Nous avions déjà fait (superficiellement) le Morbihan (qui n'est quand même pas le plus beau coin de la Bretagne - trop urbanisé à mon goût), le Finistère au sud de la pointe du Raz et les côtes de la Manche de Morlaix au mont Saint-Michel (qui marque le début de la Normandie). Il restait donc à faire le vrai Finistère, la partie la plus sauvage de la presqu'île de Crozon à Roscoff. Evidemment, impossible de tout faire. Le séjour ornitho à Ouessant sera pour une autre fois (ou pas).
Et, une fois n'est pas coutume, mon carnet de bord ne sera pas chronologique mais thématique.
Introduction par quelques paysages typiques