Dent d'avril hivernale
Publié le 25 Avril 2016
J'aurais presque pu prendre les skis. En acceptant une neige par terrible à skier (un peu croûtasse) et quelques glissés dans l'herbe pour joindre les dernières plaques de neige, j'aurais déchaussé non loin du habert du Coq soit à guère plus de cinq minutes de la voiture, sans doute accessible skis aux pieds le matin même ! A vrai dire, il n'en est pas tombé tant que ça mais avec la répartition due au vent...
Sans doute aussi ma descente à pied du sommet la plus rapide (seize minutes exactement pour rejoindre le parking d'été) tant les conditions étaient bonnes. En revanche, à la montée, ce fut le contraire avec une grosse châle dans les accumulations du pas de l'Oeille.
Et au final, le vent tombant d'un seul coup au coucher du soleil me permettra de rester quelques minutes au sommet sans sortir ni la doudoune, ni la veste Goretex emportées absolument pour rien (tout fait au sous-vêtement merinos).
Et la finalité de cette soirée au-delà du plaisir des yeux et d'un (petit) effort : la série d'images qui suit.