Innsbruck
Publié le 24 Février 2019
Depuis le temps que j'en entends parler comme deuxième (ou première) capitale des Alpes avec Grenoble, j'avais très envie de m'y rendre. Nous avions prévu une semaine de ski avec Nico (Mossière) et Lio (Didier). Initialement, les Dolomites avaient notre préférence avec une session "couloirs" au programme. Seulement voilà. A quelques jours du départ, nous ne nous sommes toujours pas organisés et après coups d'oeil aux bulletins d'enneigement et aux webcams, le massif est plutôt en mode sécheresse. Et avec l'anticyclone installé sur l'Europe, ça sent la session "couloirs en neige béton" et ressauts mal comblés. C'est ainsi que l'idée d'Innsbruck me vient à l'esprit. Et avec l'enneigement excellent de l'Autriche cette année, c'est l'occasion de mettre les pieds pour la première fois pour nous trois dans ce pays.
Nous allons y revenir dans les billets suivants mais ce fut un excellent choix côté ski. Et tout autant pour le reste. Une ville fabuleuse, qui présente beaucoup de similitudes avec Grenoble ou Annecy (taille "humaine", entourée de montagnes, remplie de sportifs, taillée pour le vélo...) mais en mieux sur beaucoup de plans. Nous n'y avons pas trouvé de moment d'insécurité comme on peut le voir dans la capitale iséroise ou de tensions entre automobilistes et cyclistes. Nous n'y avons rencontré que des gens agréables, souriants, contents de vous rendre service. On y mange très bien et tout est à portée de main. Côté stations de ski, tout est très bien desservi depuis le centre par les transports en commun et là encore, nous avons du retard en France. La ville est propre. Les gens semblent globalement respectueux les uns des autres.
Dès la première soirée, avant même de mettre les skis, l'entrée en matière fut excellente.