La Dent de la libération
Publié le 28 Novembre 2020
Les filles ont été privées de nature durant un mois. Privées d'escalade, de marche, d'évasion. Pas de dérogations pour elles. Et je ne suis pas allé jusqu'à les considérer comme modèles pour mes reportages photographiques professionnels quoique c'eut été tout à fait justifiable. Fort heureusement, le collège a permis le maintien de liens sociaux.
Nous n'étions pas les seuls là-haut. Un parking plein comme je ne l'ai jamais vu. Et beaucoup de néophytes, facilement identifiables à leur équipement. Un besoin d'espace et de "liberté" pour tous même si on ne peut pas comparer ce type de confinement avec ce qu'ont vécu nos ancêtres durant la seconde guerre mondiale. Cependant, et malgré cette affluence, un tel week-end de "libération" ne verra pas un rebond de l'épidémie à cause de ça car le virus ne s'attrape pas en extérieur et les gestes-barrières sont désormais bien intégrés. En espérant que les politiques l'intègrent une prochaine fois si besoin.
Lumière toujours aussi terrible là-haut en fin de journée.