Belledonne, encore
Publié le 18 Février 2024
Massif complètement oublié (relativement à beaucoup d'autres) jusqu'à la fin des années 1990 hormis quelques itinéraires estivaux (lacs des 7 Laux, lacs du sud du massif, croix de Belledonne) et hivernaux (Belle Etoile, rocher Blanc, Vénétier, Chamrousse), Belledonne est devenue ultra fréquentée l'hiver depuis le premier ouvrage de la collection Toponeige. Même Paul Bonhomme s’y mêle ; c’est dire !
En été, l'Echappée Belle et le GR738 ont également changé la donne plus récemment. Quant à l'escalade, Belledonne est passé de "massif secondaire délaissé" à un statut de massif "normal" soit une fréquentation également en forte hausse grâce à l'ouverture de nouveaux itinéraires de grand intérêt et sans doute à mon topo Belledonne Escalade.
On y verra du positif et du négatif.
En attendant, Belledonne reste mon massif de cœur. Mon décor et mon jardin d’évasion en minimisant le déplacement. Ce petit week-end au-dessus de la maison n’échappe pas à la règle. Aller « taper » la transfo en faces sud et ouest du Grand Colon puis en versant E et sud-est du pas de la Coche et de la pointe du Sifflet. Les quantités de neige en versant ombragé non damé varient du sud au nord du massif.
Au sud, la limite se situe vers 1500 mètres avec moins de 20 cm au sol (secteur Chamrousse - Freydières).
Au nord, la limite se situe vers 1300 mètres avec les mêmes quantités (secteur Bens). A 1600 m, la couche atteint les 80 cm.