Publié le 21 Avril 2015
Cette fois, je remonte par conditions sûres : pas de risque de brouillard, pas de vent, douceur. Un cerf et une chouette hulotte plus tard, j'arrive sur la place. Il est 5h15. J'installe la tente affût sur la plate forme que j'ai taillée à la pelle trois jours avant. Si les coqs se mettent à danser exactement au même endroit que la fois précédente, je devrais être idéalement placé. idéalement pour avoir des arbres en arrière-plan, mais aussi si jamais ils voulaient bien prolonger la danse jusqu'à l'arrivée du soleil, je l'aurais de 2/3 dans le dos ce qui est vraiment pas mal.
5h45. Ils sont déjà là. Vingt minutes plus tôt qu'il y a trois jours. Je n'ai pas eu beaucoup à attendre. Rapidement cinq puis six puis sept coqs. Le bal commence.
La lumière s'améliore et on peut passer sous les 1000 ISO. On fait toujours des photos trop tôt, ne sachant pas à quoi s'attendre par la suite. Et là, les coqs resteront sur la place jusqu'à 8h45. Au final, près de cinq-cent photos ! Il va falloir trier et ça prend du temps. A suivre