Publié le 4 Janvier 2018
Une ville probablement unique au monde et quelques jours de dépaysement après une très bonne semaine de ski. Sans le savoir, nous avions bien vu avec la tempête Eleanor. Une pensée pour les touristes venus de loin et claquant 5000 euros (au bas mot) la semaine à quatre pour... ne pas vraiment faire de ski et voir la pluie délaver la montagne. Certes, ce sont des conditions exceptionnelles imprévisibles mais entre ça, le manque de neige et tout le reste, il y a probablement à repenser autrement l'organisation de ce que l'on appelait "les vacances à la neige" dans les années 80, notamment pour cette période de Noël.
Bon allez, revenons à notre bonne vieille ville italienne construite sur des millions de pieux en bois enfoncés dans la lagune. Ca tient toujours debout malgré quelques clochers qui n'ont rien à envier à la tour de Pise et des façades rongées par les eaux. De belles lumières d'hiver et tous les temps : pluie le premier après-midi en arrivant, couvert le lendemain matin, soleil l'après-midi puis brouillard et soleil le troisième jour. Manquait que la neige !
Pas vraiment de conseil à donner au touriste désirant s'y rendre. D'autres véritables spécialistes le font mieux que moi. Je dirais juste que soixante-douze heures ne sont pas de trop. Pour moi qui ne suis pas un fan des visites touristiques mais apprécie de temps à autre ce genre de break, c'était parfait. Avec en bonus une demi-journée pour aller sur Burano dont je parlerai plus tard.
N'étant pas parti pour faire des photos, j'ai tout de même fait quelques images un peu à la volée en essayant de soigner les cadrages. J'avais emporté le minuscule EOS 100D avec le 10-18 ainsi que le 40 pancake. Et un petit trépied Gorillapod Hybrid. Poids de l'ensemble : environ 1 kg. Vraiment pratique.