Publié le 20 Avril 2020

Quelques images de ces deux derniers jours. Il paraîtrait que sur le district Grésivaudan, il n'y aurait pas de mention de nidification de la huppe fasciée depuis plus de cent ans ! Je vais donc surveiller de près. D'autant qu'il y a un couple apparié de manière quasi certaine et un autre chanteur à proximité qui vient parfois les taquiner.
La huppe fasciée est un oiseau migrateur revenu d'Afrique, de la taille d'un pigeon mais beaucoup plus fin ; vu de face, il pourrait presque passer inaperçu en-haut d'un arbre. Il arbore une huppe caractéristique sur sa tête (d'où son nom), souvent repliée mais parfois déployée à la manière d'un paon. Insectivore comme en témoigne son long bec fin, la huppe se remarque surtout par son chant caractéristique : "houpoupou, houpoupou, houpou, houpoupou...", souvent sur un perchoir bien visible (toit, antenne, cime d'un arbre...) mais parfois aussi dans le feuillage. Son nom scientifique est Upupa epops.

Les rossignols sont également bien arrivés. Toujours pas de coucou gris en revanche.

Huppe fasciée
Huppe fasciée

Huppe fasciée

Merle noir

Merle noir

Etourneau sansonnet venant de nourrir sa progéniture : 6400 ISO sur l'APS-C, eq 670 mm, 1/40 sec, main levée...

Etourneau sansonnet venant de nourrir sa progéniture : 6400 ISO sur l'APS-C, eq 670 mm, 1/40 sec, main levée...

Tourterelle turque

Tourterelle turque

Tarier pâtre, autre image pourrie.

Tarier pâtre, autre image pourrie.

Lapin

Lapin

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Publié le 17 Avril 2020

Ce blog est un peu en sommeil depuis le début du confinement : six billets sur le dernier mois glissant. Du jamais vu sur ces pages. Il faut dire aussi qu'au retour de deux semaines ininterrompues de ski, j'avais levé le pied celle d'avant confinement.

Et attendant la vie s'organise. Je me prends au jeu de cet inventaire ornithologique. Et je constate qu'il y a de la richesse. Avec chaque jour l'arrivée de nouvelles espèces migratrices. Parmi les belles surprises, un faucon pèlerin qui vient taper une tourterelle juste devant ma fenêtre (!!), la huppe fasciée, le pic noir, des torcols bien cantonnés... Quant à notre épeiche, il semble préparer la ponte. A suivre. Allez, voici les dernières images.

Lever de Lune sur le Ferrouillet. Le bonheur appartient à celui (celle) qui se lève tôt.

Lever de Lune sur le Ferrouillet. Le bonheur appartient à celui (celle) qui se lève tôt.

Le bruant zizi. Le nom fait rire les filles. C'est dû à son chant : "zizizizizizizizizizizizizi"
Le bruant zizi. Le nom fait rire les filles. C'est dû à son chant : "zizizizizizizizizizizizizi"

Le bruant zizi. Le nom fait rire les filles. C'est dû à son chant : "zizizizizizizizizizizizizi"

Le pic épeiche de service
Le pic épeiche de service
Le pic épeiche de service

Le pic épeiche de service

Belle observation d'un oiseau courant mais qui ne se laisse pas approcher facilement : le geai des chênes

Belle observation d'un oiseau courant mais qui ne se laisse pas approcher facilement : le geai des chênes

La huppe fasciée. Seule image que j'ai pu faire.

La huppe fasciée. Seule image que j'ai pu faire.

Le petit pouillot véloce qui remue dans tous les sens. Pas facile à capter non plus.
Le petit pouillot véloce qui remue dans tous les sens. Pas facile à capter non plus.
Le petit pouillot véloce qui remue dans tous les sens. Pas facile à capter non plus.
Le petit pouillot véloce qui remue dans tous les sens. Pas facile à capter non plus.

Le petit pouillot véloce qui remue dans tous les sens. Pas facile à capter non plus.

Rougegorge familier

Rougegorge familier

Pinpin

Pinpin

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Rédigé par lta38

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Publié le 16 Avril 2020

Le confinement a parfois du bon. Depuis trois semaines, nous faisons notre sortie quotidienne avec les filles dans le rayon autorisé. J'avais envisagé réaliser une première avec un itinéraire en boucle de longueur 2π centré sur la maison mais étant au milieu de propriétés closes, c'était mission impossible. Beaucoup plus intéressant était de faire des sorties "nature". Peu à peu, l'idée s'est imposée d'elle-même en inventoriant l'avifaune présente à l'intérieur de ce cercle d'environ six kilomètres de circonférence. Les filles se sont prises au jeu et la progression est fulgurante. Y compris au niveau des chants. Parmi les espèces intéressantes contactées, nous avons noté les deux milans (noir et royal), l'épervier d'Europe, le petit-duc scops, le martinet à ventre blanc, la huppe fasciée, le torcol fourmilier, le tarier des prés, le moineau friquet, le grosbec casse-noyaux... Et appris à reconnaître de visu et d'oreille les classiques : mésange charbonnière, pinson des arbres, rouge-queue noir, pic vert, tourterelle turque, grive musicienne, bruant zizi, moineau domestique, corneille noire, pouillot véloce, pic épeiche...

Ce pic épeiche, nous l'observions souvent dans le même secteur. Nous y sommes restés attentifs. Et puis, bingo. Une loge. A deux mètres du sol. Dans un arbre fruitier. "Je ne pensais pas qu'il y avait cet oiseau à côté de la maison ; je croyais que ça vivait que dans les forêts de montagne..." dixit les filles. De très belles observations ce matin ; l'occasion aussi de faire quelques images et de se donner un objectif de suivi pour le mois à venir. Voici donc crée un nouveau journal : la dépêche de l'épeiche. Je ne vous dis pas qu'il sera quotidien mais espère vous faire partager l'avancée de la nichée un peu plus que le ferait un hebdomadaire. A suivre donc.

En attendant, quelques images : Canon EOS 100D + Canon 300 mm F/4 L IS USM + Canon TC 1,4x II (eq 670 mm).

La dépêche de l'épeiche
La dépêche de l'épeiche
La dépêche de l'épeiche
La dépêche de l'épeiche

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Rédigé par lta38

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Publié le 14 Avril 2020

Confinement. J+30. Voilà donc un mois qu'on essaie tant bien que mal de s'adapter. Et, à titre personnel, je dois commencer par reconnaître que je suis un privilégié. A ce jour, je n'ai pas de proche mis en difficulté par le Covid-19, j'ai la chance d'être moi-même en bonne santé, d'habiter en "pseudo-campagne" qui me permet de prendre mon déjeuner au soleil, faire de petites balades quotidiennes avec les filles dans la nature au milieu du chant des oiseaux, d'avoir beaucoup de publications prévues dans un futur proche et donc, du travail à la maison en plus de mon métier principal d'enseignant. Bref, peu de temps pour m'ennuyer. Et puis, qu'est-ce que 30 jours ? Et même 30 de plus ?

Balades quotidiennes
Balades quotidiennes
Balades quotidiennes
Balades quotidiennes
Balades quotidiennes

Balades quotidiennes

Apus melba, tous les soirs

Apus melba, tous les soirs

Cependant, on est en droit de se poser des questions sur la légitimité de certaines mesures. Loin de moi l'idée de remettre en cause la distanciation sociale indispensable qui a motivé le confinement. C'est sans aucun doute incontournable. Mais actuellement, un certain nombre d'incohérences commencent à faire monter la tension chez les uns et les autres. Et ce sont clairement les limites du système. Quelques exemples de ce "deux poids, deux mesures" au niveau des déplacements. En théorie (mais encore une fois, il faudrait porter cela en justice si procès verbal afin d'avoir la véritable réponse), je n'aurais pas le droit d'exercer l'activité complémentaire de mon temps partiel d'enseignant qui consiste, en rémunération de droits d'auteurs, en publications pédagogiques multiples. Cette activité demande (et j'ai plusieurs dossiers sous le coude d'ici cet automne qui, de ce fait, sont décalés donc un manque à gagner) un peu de travail sur le terrain pour a minima photographier et tester du matériel. Si les restrictions techniques semblent indispensables afin de ne pas se mettre en danger et ne pas surcharger les hôpitaux (ni ski, ni escalade, ni parapente...), faire une demi-journée de marche sur sentier à vaches et seul est probablement moins risqué question Covid que d'aller travailler dans un bureau avec d'autres collègues quand bien même on serait seul dans son bureau. Deux poids deux mesures donc et cela commence à devenir pesant.

Bien évidemment, on est tous dans le même bateau. Nombreux sont ceux qui doivent faire face à un manque à gagner, qui ne se rattrapera probablement pas. Heureusement, nous consommons moins et de ce fait, avons moins de dépenses. Et en toute honnêteté, je serais prêt à faire l'impasse provisoirement sur ce revenu complémentaire s'il n'y avait pas de traitements de faveur ou, en tous cas, de traitement différent selon les uns et les autres concernant ces déplacements. Malheureusement, on se rend compte que le confinement est loin d'être appliqué pour tout le monde pareil. Quelques exemples parmi d'autres :
- Des vacanciers passés dans les mailles du filets sur des centaines de kilomètres non renvoyés chez eux et non verbalisés une fois arrivés.
- Les louvetiers, non professionnels, non rémunérés (généralement des chasseurs ayant envie d'aller tuer du loup et assermentés) autorisés à être dans la nature pour tuer des loups (cf les 3 dont deux femelles alpha dans la Drome).

- Pour acheter "la paix sociale", une certaine tolérance (variable selon les endroits j'imagine) dans les quartiers difficiles, en laissant parfois les regroupements de population. En parallèle, on envoie les hélicos pour traquer un pauvre randonneur isolé.
- Encore la chasse, et celle-là elle est énorme, autorisée par utilité publique (oui, vous avez bien lu). L'attestation est datée du 3 avril ; ce n'est pas un poisson. Il suffit pour cela d'être inscrit sur le tir de ce qu'ils nomment les nuisibles (renard, corbeaux...).

Deux poids, deux mesures ?

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Rédigé par lta38

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Publié le 8 Avril 2020

Quand je revois les publications de mon ami Eric qui sonnait l'alerte dès la fin janvier, je me dis qu'il avait vraiment bien analysé la situation. Et rares sont ceux qui avaient vu juste. Du citoyen lambda au plus haut responsable politique. A commencer par moi-même. Le 21 février dernier, je m'envolais pour la Norvège avec Nicolas. Dans l'avion, deux Françaises portent un masque et pas typées asiatiques (on sait que l'utilisation du masque est répandue depuis longtemps en Asie). Cela nous fait sourire. On trouve cette précaution exagérée. Dans l'avion du retour, on rigolait déjà beaucoup moins. En parallèle, les politiques ne font pas mieux. Jusqu'au 12 mars (inclus !!!!!), le soir d'annonce de la fermeture des écoles par Macron, le ministre de l'éducation nationale Jean-Michel Blanquer annonçait que la fermeture des écoles n'était pas envisagée et que la France ne changeait pas de stratégie (!!!). Depuis, ce champion du monde continue d'émettre des annonces démontant systématiquement les précédentes. N'a-t-il pas compris qu'on était loin de tout savoir de ce virus et que le mieux était probablement de se taire et d'agir au fur et à mesure (comme il le fait) en fonction ? Je lance un hashtag #tagueuleblanquer. Après, je pense toutefois qu'il est battu par celle qui est si bête...

Ceux qui avaient aussi tout faux, ce sont les consommateurs qui se sont rués dans les rayons des supermarchés juste avant le confinement pour faire le plein, croyant qu'on aller manquer. Résultat : des mouvements de foule qui ont causé beaucoup de contaminations et au final, sans aucun intérêt puisque dans les premiers jours du confinement, les magasins étaient approvisionnés à peu près normalement et il n'y avait personne. Ironie du sort, ceux qui s'y sont rendus à ce moment-là, se sont du même coup retrouvés en "avance" sur les autres. A ce propos, il faudra qu'on explique l'histoire du PQ. Autant les pâtes, je veux bien. La denrée peu chère et facile à préparer. Mais le PQ... Au pire, il y a l'eau et les doigts non ? 

En parallèle, cette crise met en évidence les défauts de notre système et ça, en revanche, beaucoup l'avaient déjà pointé. Le système de santé par exemple, fracassé d'années en années par nos gouvernements successifs. Mais aussi la mondialisation qui consiste à ne pas être autonome. Alors certes, si un habitant de Tromsø ne doit manger que du local, il risque de se toucher pour manger des fruits. Mais sans aller jusqu'à ces extrêmes, on prend aujourd'hui toute la mesure des délocalisations de production, souvent à des fins financiers. Attention, il s'agit bien de souvent. A titre d'exemple et j'aurai l'occasion de revenir dessus, je viens de recevoir la nouvelle tente Samaya à tester. C'est un produit ultra haute gamme qui vient occuper une place jusqu'à présent laissée libre. La (toute nouvelle) petite entreprise annécienne qui en est à l'origine et qui prend par ailleurs de plein fouet la crise sanitaire fait fabriquer le produit en Chine. Mais pas pour des raisons financières. La seule boite capable de fabriquer cette tente en respectant le cahier des charges technique s'avère être chinoise. Mais bon, ne nous voilons pas la face ; bien évidemment la délocalisation de production est bien souvent dans une optique économique.

Par ailleurs, ces déplacements sont aussi vecteurs des virus. Voilà donc que les avions, déjà coupables de nombreux maux environnementaux et sanitaires (pollution), perdent encore un point dans le sanitaire... Ne faudra-t-il pas revoir notre mode de vie, notre façon de travailler ? Pour le travail, cette crise devrait nous en apprendre sur les possibilités de développer le distanciel. Mais pour nos loisirs ? Est-on prêt à changer nos habitudes ? Au retour d'une très belle sortie dans Belledonne je ressens les mêmes émotions qu'au fin fond des fjords de l'Arctique mais pourtant, le besoin de découvrir de nouveaux paysages reste présent. Alors ? On a pu voir à quel point ce n'est pas gagné. Il suffit de suivre un peu l'actualité (au moins le factuel, parce que l'interprétation...) et voir qu'il y a des Français qui sont quand même partis en voyage lointain (hors Europe) trois jours avant le confinement et qui, aujourd'hui sont coincés avec des conditions similaires à la prison (confinement dans leur location avec livraison de repas et interdiction de sortir). Eux-aussi ils avaient tout faux mais là pour le coup, c'était sacrément risqué de partir quand même.

Et la météo ? Depuis quatre semaines, nous avons un début de printemps magnifique. Cela est ressenti comme une frustration pour les uns (qui ne peuvent pas sortir) et une aubaine pour les autres (cela rend le confinement moins pénible). Pour ma part, je me situe dans les seconds. Franchement, tant qu'à être confiné, autant que ce soit sous un soleil radieux. Rien n'empêche de passer la tête par la fenêtre et même d'aller faire quelques pas. Et puis, concernant le ski, au moins, on n'est pas nargué par la poudre : il n'y en a pas. Et la neige transformée, pour moi, ça va cinq minutes. C'est sympa de temps en temps mais ce n'est quand même pas l'enthousiasme de la neige froide. Bon par contre pour la grimpe, ça commence à démanger. A ce sujet, j'essaie d'entretenir des exercices trois fois par semaine. Entre autres celui-ci (déjà évoqué sur ce blog), sur une poutre ou une barre de traction (voire une branche), le tout est de n'utiliser que les phalanges (sur les deux premières je trouve que c'est pas mal) et pas toute la main, et en pronation :
- 1er minute : 8 tractions
- 2è minute : 30 sec suspension
- 3è minute : 20 sec blocage à 45°
- 4è minute : 8 tractions
- 5è minute : 35 sec suspension
- 6è minute : 25 sec blocage à 90°
- 7è minute : 6 tractions
- 8è minute : 20 sec blocage à 135°
- 9è minute : tractions max
- 10è minute : suspension max
- repos 5 minutes puis répéter 3 fois l'opération (donc 4 séries) soit 55 minutes d'exercice.

Bon, pour en revenir à la météo, elle pourrait aussi avoir tout faux si, comme ces dernières années, on aurait un mars-avril plutôt clément et un mois de mai dégueulasse, au moment du déconfinement présumé.

Reste à voir quand aura lieu ce déconfinement et surtout quels changements de vie vont s'opérer à ce moment-là. Et il faut s'attendre à ce qu'il y en ait. Il faudra probablement faire une croix sur certaines vacances non soldées avant le mois de mai. Pour ma part, j'ai déjà fait une croix sur celles qui approchent. Mais en même temps, il va aussi falloir redresser les entreprises qui seront en difficulté et chacun devra s'y mettre. Il y a aussi une grande inquiétude pour les professionnels du tourisme. Qu'en sera-t-il de l'été ? En toute logique, si le virus nous laisse un peu tranquille et que certaines mesures ( + conditions météo ?) lui sont défavorables, on devrait pouvoir prendre un peu de temps pour "s'évader" mais il faut garder en tête qu'on ne pourra peut-être pas partir aussi longtemps que d'habitude et aussi loin qu'on le souhaite. L'occasion aussi de redécouvrir la nature proche de chez nous. A ce sujet, je travaille sur la réédition de mon topo Belledonne Escalade pour ce début d'été. J'y reviendrai très bientôt.

En attendant, de mon côté, j'en profite pour avancer toutes ces publications, en parallèle de la gestion de mes classes et de la maison. Fort heureusement, j'ai de la chance d'avoir deux filles parfaitement autonomes. Quant au dehors, nous avons de la chance d'être à la quasi campagne et d'avoir de la verdure boisée autour de la maison. On redécouvre la nature autrement.

Bon courage à tout le monde. Prenons soin de nous et laissons faire les choses. D'autres temps meilleurs viendront. Armons-nous de patience et de grâce, cessons d'être trop tranchés dans nos prises de position. Comme dit, les événements se chargent de nous faire comprendre qu'on a tout faux dans nos certitudes.

Montage de la tente Samaya. Prise en main intra muros en attendant mieux. Tente 4 saisons. 2-3 places, 1600 g.
Montage de la tente Samaya. Prise en main intra muros en attendant mieux. Tente 4 saisons. 2-3 places, 1600 g.

Montage de la tente Samaya. Prise en main intra muros en attendant mieux. Tente 4 saisons. 2-3 places, 1600 g.

"Coincés entre la gare et le Vieux Port, on n'est pas les plus à plaindre" disait Bouga. Je préfère la version : "Coincés entre la plaine et la Dent..."
"Coincés entre la gare et le Vieux Port, on n'est pas les plus à plaindre" disait Bouga. Je préfère la version : "Coincés entre la plaine et la Dent..."
"Coincés entre la gare et le Vieux Port, on n'est pas les plus à plaindre" disait Bouga. Je préfère la version : "Coincés entre la plaine et la Dent..."

"Coincés entre la gare et le Vieux Port, on n'est pas les plus à plaindre" disait Bouga. Je préfère la version : "Coincés entre la plaine et la Dent..."

Les oiseaux chantent dans tous les sens. Ici, une fauvette à tête noire.

Les oiseaux chantent dans tous les sens. Ici, une fauvette à tête noire.

Lever de Lune sur le télésiège du Gypaète et sa fermeture anticipée cette année

Lever de Lune sur le télésiège du Gypaète et sa fermeture anticipée cette année

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