Publié le 23 Mai 2018

Rassurez-vous, il s'agit simplement d'un piège par l'image. L'activité semble un peu réduite sur ce blog mais je consacre pas mal de temps en ce moment à la recherche d'un animal assez difficile à voir. Peut-être des nouvelles dans les mois à venir selon les résultats. En attendant, les images d'espèces fréquentes (mais pas forcément fréquentes en "direct") s'accumulent. C'est la période la plus propice aux observations jusqu'au début de l'été.

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Rédigé par lta38

Publié dans #animaux

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Publié le 22 Mai 2018

Rédigé par lta38

Publié dans #escalade-alpi

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Publié le 21 Mai 2018

Pour aller faire un tour du côté des lacs en débâcle sur le secteur de la Pra, le moyen de locomotion le plus "rentable" (entendez par là, permettant d'évoluer le plus rapidement) reste encore le ski. Et pour le point de départ, c'est versant Revel (Freydières) et pas par le classique lac du Crozet (trop de portage) mais par la face ouest où le fameux entonnoir sud-ouest permet de skier, via une langue de neige devenue hyper étroite, à dix minutes de la voiture. Mais cette option est en passe de devenir discutable avec la fonte qui se poursuit chaque jour. La canicule annoncée le week-end prochain devrait y mettre un terme.

Lac Merlat
Lac Merlat
Lac Merlat

Lac Merlat

Lac Bernard

Lac Bernard

Lac Claret

Lac Claret

Couloir sud-ouest : ça passe !
Couloir sud-ouest : ça passe !

Couloir sud-ouest : ça passe !

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Rédigé par lta38

Publié dans #ski-glisse, #paysages

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Publié le 19 Mai 2018

Ce doit faire la quatrième fois que je fais référence à ces dalles sur ce blog. En 2011, j'y avais emmené Benoît pour ses sept ans. Puis en 2013 nous y étions tous les 4 (Emie n'avait que quatre ans). Enfin en 2014, c'était avec Stella et sa copine Emilie. Et depuis, plus rien. Les filles connaissent presque par coeur ce secteur du Charmant Som où elles ont déjà moult souvenirs : ces dalles donc mais aussi des montées (et descentes) à skis, du temps à gambader au milieu des jonquilles et des crocus au mois de mai, un bivouac, l'observation des chamois et des mouflons, une rencontre avec la chevêchette, une ascension depuis le bas de la montagne (Les  Revols)... et je dois en oublier.

Même si j'y reviens désormais moins souvent, on y fait bien un passage chaque année, principalement à l'automne ou au printemps.

Nous voilà donc partis aujourd'hui pour essayer de (re)faire ces dalles en espérant passer avant les nuages qui sont bien taquins en ce moment.

Après un départ à 9h15 de la maison, nous sommes à l'attaque une heure plus tard juste après une cordée de trois qui n'a pas l'air très rapide. Nous nous retrouvons rapidement devant eux et j'exhorte les filles à être très vigilantes car de nombreuses pierres de l'hiver sont posées en équilibre sur la partie basse des dalles (avant le premier ressaut) et je les interdis d'en faire tomber une seule. La consigne sera respectée ! Aprè!s ce départ un peu mouillé et délicat avec les pierres, une fois le ressaut passé, ça "court" jusqu'en-haut. A 11h45, nous sommes affalés dans l'herbe juste sous le sommet pour le casse-croûte.

Sommet puis descente au milieu des jonquilles. Quelques bancs de brouillard mais rien de méchant. On sera de retour sous un soleil presque trop chaud.

Ces dalles sont un excellent exercice d'initiation et en plus, c'est fort beau !​​​​​​​

Après le premier ressaut

Après le premier ressaut

Relais confort pour le petit biscuit

Relais confort pour le petit biscuit

Dalles, partie supérieure

Dalles, partie supérieure

Petite pub (mais toujours dans l'esprit "je ne parle que de ce que j'aime sans tromperie"), les Adidas Terrex Solo. Un intermédiaire entre la basket souple et la Scope vraiment rigide, parfaite pour le rocher à réglettes mais moins confortable pour la marche. Cette Solo est vraiment un excellent compromis : très légère, souple mais pas trop, semelle avec gomme C4. Parfait pour ce genre d'exercice.

Petite pub (mais toujours dans l'esprit "je ne parle que de ce que j'aime sans tromperie"), les Adidas Terrex Solo. Un intermédiaire entre la basket souple et la Scope vraiment rigide, parfaite pour le rocher à réglettes mais moins confortable pour la marche. Cette Solo est vraiment un excellent compromis : très légère, souple mais pas trop, semelle avec gomme C4. Parfait pour ce genre d'exercice.

Une prairie encore bien jaune pour sortir au sommet

Une prairie encore bien jaune pour sortir au sommet

Arrivée au sommet au milieu des oreilles d'ours

Arrivée au sommet au milieu des oreilles d'ours

Corniche de neige versant nord

Corniche de neige versant nord

Une autre prairie jaune mais cette fois, pour d'autres raisons. Un beau décor pour finir.

Une autre prairie jaune mais cette fois, pour d'autres raisons. Un beau décor pour finir.

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Rédigé par lta38

Publié dans #escalade-alpi

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Publié le 18 Mai 2018

Faon de chevreuil

En randonnant en moyenne montagne en ce moment, on peut "tomber" sur un faon... (chevreuil ou cerf).

Entre la mi-mai et la mi-juin, les chevrettes (et biches) mettent bas. C'est assez incroyable pour un animal de cette taille mais la gestation du chevreuil est plus longue que celle de l'homme. Le rut a lieu en juillet et les naissances dix mois plus tard ! Durant l'hiver, l'embryon se met en "pause" et cesse de grandir : on appelle cela la gestation différée, afin de palier le manque de nourriture.

Dès sa naissance, le faon suit sa mère et se repose dans l'herbe pendant qu'elle se nourrit. Lorsqu'elle a pris un peu de distance, il se relève et la rejoint puis se recouche pour se reposer. Et de temps à autre, tête bien sûr car le bébé est un mammifère. Il ne se nourrit donc que de lait maternel !

En cas de danger (prédateur, humain...), la mère donne le signal d'alarme en tapant du sabot et le jeune prend une position immobile. En cas de rencontre, il ne faut surtout pas le toucher car la mère pourrait l'abandonner en prenant peur à cause de l'odeur humaine. Il suffit de s'en éloigner ; sa mère va le "récupérer". Tout autre comportement à proscrire. Quelques règles car beaucoup de randonneurs semblent l'ignorer :

-  Un faon trouvé couché n'a que quelques jours voire quelques heures. Sauf accident peu probable, sa mère est encore en vie et il n'est pas orphelin.
- A moins d'être parfaitement certain du décès de la mère, l'emporter chez soi n'est de toutes façons pas une solution. Tout d'abord, c'est strictement interdit (vous risquez une amende) ; d'autre part, tous les faons récupérés par des particuliers y compris des habitués (détenteurs de parcs de cervidés, centres de recueil de la faune sauvage blessée...) meurent dans les quelques jours ou ont des carences en alimentation (ce n'est pas le bon lait...) qui entraînent sa mort par la suite ; au mieux deviennent agressifs et/ou dépressifs de par leur comportement social.

Oui c'est beau, ça paraît gentil comme ça mais cela reste un animal sauvage qui doit rester dans la nature. Dans la majorité des cas, tout se termine bien. Dans le pire des cas, il servira au renard ou au sanglier et c'est la loi de la nature.

Faon de chevreuil

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Rédigé par lta38

Publié dans #animaux

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