Publié le 24 Mars 2011
paysages
Publié le 3 Février 2011
Comme promis voici une série d'images sur le brouillard givrant de ces derniers jours qui a laissé entre 900 et 1300 m d'altitude sur Chartreuse, Vercors et Belledonne, de remarquables constructions.
Celles-ci (les images) ayant été prises lors d'une randonnée-trail, je n'avais avec moi que mon petit compact s95. Pas de problème pour la qualité des images mais la trop grande profondeur de champ du petit capteur empêche de pouvoir bien isoler les sujets et c'est là que le bât blesse.
Quoi qu'il en soit, le paysage était somptueux pour les yeux et c'est bien là le principal. Merci Dame nature pour ces images plein la tête.
Givrées les branches et les feuilles sous lesquelles pendent des aiguilles allant jusqu'à 7 cm de longueur pour les plus importantes.
Givrés les arbres, feuillus et résineux du St-Eynard qui ne semblent pourtant pas souffrir de ce phénomène.
Enfin givré le bonhomme qui, par -7°C, après une montée en courant (donc tout transpirant), s'est octroyé une séance photo en petite polaire sans pratiquement bouger durant 3/4 d'h (130 images à trier), en cherchant les angles intéressants, les plus belles constructions.
A la fin, j'avais l'impression de sortir d'un congélateur !
Le brouillard givrant est fréquent en certains endroits du département (par exemple au nord-ouest de la Chartreuse, du côté du col des Mille Martyrs) mais à proximité immédiate de Grenoble, il faut être un peu plus sur le qui-vive.
Des formations naturelles stupéfiantes : on ne sait plus ou de donner de la tête (de l'objectif)
Le petit papa Noël pourrait reconnaître ici un sapin enguirlandé, prêt à recevoir des cadeaux. Pourtant, il faudra patienter encore près de onze mois...
Un peu plus en aval, je jette un regard sur les ravines de la face sud-ouest ou le paysage n'en est pas moins étonnant.
Un dernier regard givré, avant de redescendre en courant, afin de se réchauffer, vers notre bonne vieille ville de Grenoble.
Publié le 2 Février 2011
Petit tour aujourd'hui du côté des cascades du Glésy, au-dessus de la Terrasse dans le Grésivaudan. L'objectif était de voir l'état de celle-ci, non pas pour les gravir en crampons mais pour éventuellement des images glacées avant que le redoux annoncé n'interrompt la glaciation en cours depuis une quinzaine.
Ces cascades s'accèdent sans difficulté par un chemin balisé en se garant sur la route qui mène à Saint-Bernard du Touvet depuis le Touvet, un peu en aval de l'intersection d'avec la route venant de la Terrasse. Le panneau indicateur annonce dix minutes mais il en faut à peine la moitié pour atteindre la première chute d'eau. Le seconde se situe à trois minutes au-dessus, par un sentier non balisé mais évident.
Pour l'occasion, j'ai bien sûr emporté mon reflex. Les images sont assez classiques et n'ont rien d'exceptionnelles mais elles reflètent tout simplement l'ambiance de ces lieux.
Elles sont prises avec trépied, retardateur 2 sec (pour éviter le flou de bougé dû à la pression du doigt sur le déclencheur) avec des temps de pause variant de 2 à 6 secondes afin de recréer un peu le mouvement de l'eau.
Après quelques plans généraux, voici quelques plans de détails bien que je n'avais pas trop le temps de m'attarder.
Pour ce genre d'images, le plus difficile est de savoir quel sujet on va isoler. Que photographier, que cadrer ?
Une petite dernière pour la route, avant justement de reprendre la route vers la vallée, toujours bien encapuchonnée sous une épaisse couche de stratus... et de pollution.
Publié le 1 Février 2011
Piqûre de rappel (ou pas d'ailleurs) pour tous les passionnées de (très) belles images de montagne. Allez visiter les sites d'Alain Herrault, Sébastien Liot ou encore du collectif Diverticimes et régalez-vous. Au passage, une petite vidéo pour vous donner un aperçu de ces sorties tournées vers l'image de montagne.
Publié le 17 Janvier 2011