randonnee sportive

Publié le 3 Juin 2017

Choisi à la base sans penser à l'allusion, ce titre sied parfaitement à la récente réalisation de Alex Honnold au Yosemite. Je ne trouve pas d'autres mots que ceux que j'ai déjà utilisés sur Facebook pour la commenter : "On savait que l'être humain est capable des pires "folies"... Honnold marque ici à jamais le monde de l'escalade. La longueur mais surtout le style de grimpe (on est loin des dévers calcaires à bonnes prises ici mais plutôt dans le style "pieds en adhérance") font de cette ascension un monument historique dont il nous est impossible d'imaginer possible même pour le meilleur grimpeur du monde. Et pourtant !!! Je vois déjà certains commentaires utilisant le terme de "suicidaire". Un suicidaire ne réussirait pas une telle réalisation. Gravir un solo intégral en libre à El Cap demande au contraire une personnalité parfaitement équilibrée, réfléchie, et surtout qui aime la vie plus que tout. On en vient à se demander comment un tel cerveau peut il exister au point de permettre de se lancer là-dedans. Car c'est bien cela dont-il s'agit. Alex est bien parti dans "freerider" (7c+ granite s'il vous plait) convaincu à 100% de réussir. Bravo, chapeau, phénoménal, surhumain, gigantesque...aucun de ces termes n'est assez fort pour qualifier cette escalade !!!"

Mais à la base, je voulais parler de notre activité, de mon activité (ou plutôt "mes" activités). A ma façon, à mon niveau, il n'est pas question de lâcher quoi que ce soit. Dicté en tout premier lieu par la motivation, ce constat vaut particulièrement pour l'escalade, sport où la résistance du corps humain en prend un coup dès que l'on met la pratique un temps soit peu de côté.

Alors, c'est décidé. Après la déconvenue de jeudi dernier avec Candice (saisis par un orage après une petit longueur d'échauffement), je reprends les séances d'entraînement à la maison (blocages, suspensions, tractions...) et ça fait mal !

Un rocher que l'on aura surtout regardé ce soir-làUn rocher que l'on aura surtout regardé ce soir-là

Un rocher que l'on aura surtout regardé ce soir-là

Idem pour les jambes. Deux jours dans le sud pour les quarante ans du frérot et c'est l'occasion d'aller se dégourdir dans les Calanques. Lever 5h15 et c'est parti à point d'heure pour une belle boucle des Baumettes à Marseilleveyre. Nous sommes au mois de juin et d'ici cinq semaines, huit autres d'entière liberté devraient être intenses. Alors autant s'y préparer.

Lever du jour sur les Calanques

Lever du jour sur les Calanques

Du gris, du bleu mais aussi du vert, du rose... dans ce magnifique massifDu gris, du bleu mais aussi du vert, du rose... dans ce magnifique massif
Du gris, du bleu mais aussi du vert, du rose... dans ce magnifique massifDu gris, du bleu mais aussi du vert, du rose... dans ce magnifique massif

Du gris, du bleu mais aussi du vert, du rose... dans ce magnifique massif

Aux portes d'une ville d'un million d'habitants, je ne croiserai le premier randonneur qu'à huit heures. Sous le sommet de Marseilleveyre, une belle arête me tend les bras. On y est vite limite avec les baskets souples mais comme souvent, c'est plus facile une fois dessus que vue d'en-face.

Une arête fort sympathique et l'immense sensation de libertéUne arête fort sympathique et l'immense sensation de libertéUne arête fort sympathique et l'immense sensation de liberté

Une arête fort sympathique et l'immense sensation de liberté

La seconde partie de l'arête

La seconde partie de l'arête

Retour par le versant nord assez forestier bienvenu compte tenu de la températureRetour par le versant nord assez forestier bienvenu compte tenu de la température

Retour par le versant nord assez forestier bienvenu compte tenu de la température

Le reste de la journée ? Une jolie fête avec baignade et un coucher de soleil aussi exceptionnel qu'éphémère, sans doute un clin d'oeil à tous ces événements qui s'additionnent. C'est sûr, les années elles-aussi s'ajoutent mais on va continuer à ne rien lâcher. Joyeux anniv' Ced !

Ne rien lâcher
Ne rien lâcher

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Rédigé par lta38

Publié dans #randonnée sportive, #escalade-alpi

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Publié le 22 Mai 2017

Cela fait un moment qu'elle était programmée celle-là. Mais oh que j'ai bien fait de prendre la journée et d'y aller avec des copines pour la sur-motivation ! Parce que mes souvenirs étaient assez vagues et l'idée de départ de la consacrer à un mercredi après-midi aurait probablement fini à la nuit, avec l'école le lendemain... Au final, je n'avais pas prévu ou j'avais oublié que :
- Le dernier passage d'escalade est assez retors
- La descente est longue et tout sauf roulante
- Un sauvetage allait se dérouler juste au-dessus de nous et nous obliger à attendre une heure que la blessée soit secourue pour ne pas risquer un accident à cause des va-et-vient de l'hélicoptère.

Pour le reste, c'est sans doute un des beaux itinéraires du vertige de Chartreuse pour lequel il faut compter les horaires suivants avec des jeunes enfants qui marchent bien :
- Deux heures/deux heures trente pour aller jusqu'à l'échelle
- Une demie-heure de plus pour le sommet
- Deux heures pour la descente avec le retour en suivant la sente à points bleus et son détour sous la roche de Fitta (pauses incluses)
- + les pauses dans la montée et au sommet (et déjeuner)

L'itinéraire est très bien décrit dans l'ouvrage de Pascal Sombardier, Chartreuse et Vercors, randonnée du vertige.

 

Dernière partie de la sente d'accès avant la partie vertigineuse

Dernière partie de la sente d'accès avant la partie vertigineuse

Première vire bien protégée

Première vire bien protégée

Sauvetage au-dessus de la Grotte

Sauvetage au-dessus de la Grotte

La vire d'attente (et surtout du pique-nique) pendant un aller-retour pour aller voir l'état d'avancée du secours

La vire d'attente (et surtout du pique-nique) pendant un aller-retour pour aller voir l'état d'avancée du secours

Auvent supérieur : beau décor

Auvent supérieur : beau décor

Belle faille à l'arrivée sur le plateau

Belle faille à l'arrivée sur le plateau

La vue

La vue

Belle lumière après une longue descente sur les Varvat

Belle lumière après une longue descente sur les Varvat

Le film de cette magnifique journée

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Rédigé par lta38

Publié dans #randonnée sportive

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Publié le 19 Mai 2017

Les dernières Dents (de Crolles) dont je n'ai pas eu le temps de parler. Quelques images un peu différentes de d'habitude avec de beaux contrastes.

Et le contre-champ avec Belledonne aux allures encore hivernales. Décidément, drôle "d'hiver"...

Au pied de la Dent, le plateau de Saint-Pancrasse sur fond de Belledonne attaquée par les cumulus

Au pied de la Dent, le plateau de Saint-Pancrasse sur fond de Belledonne attaquée par les cumulus

La molaire depuis le Baure

La molaire depuis le Baure

Gros plan sur le pilier sud

Gros plan sur le pilier sud

Du sommet ouest, plongée sur le sentier. Notez les nombreuses érosions dues aux coupes des lacets, justifiant la mise en place récente de piquets et cordages pour éviter ce piétinement. A noter que sur la partie basse du sentier, peu après le parking, ces cordages existent déjà depuis trois/quatre ans et la reconquête des sentes par la végétation est désormais réussie

Du sommet ouest, plongée sur le sentier. Notez les nombreuses érosions dues aux coupes des lacets, justifiant la mise en place récente de piquets et cordages pour éviter ce piétinement. A noter que sur la partie basse du sentier, peu après le parking, ces cordages existent déjà depuis trois/quatre ans et la reconquête des sentes par la végétation est désormais réussie

Du sommet ouest, plan rapproché sur les rochers du Midi assaillis par la brume

Du sommet ouest, plan rapproché sur les rochers du Midi assaillis par la brume

Fenêtre sur rocher d'Arguille et Grande Valloire

Fenêtre sur rocher d'Arguille et Grande Valloire

GPB

GPB

Le même après une belle chute de neige

Le même après une belle chute de neige

Le cratère d'Orionde en éruption

Le cratère d'Orionde en éruption

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Rédigé par lta38

Publié dans #randonnée sportive, #paysages

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Publié le 15 Mai 2017

Sortie du lundi soir : l'idée est de ne pas trop mettre les pieds dans la neige tout en restant dans la tranche 1000-1800 m, la plus belle actuellement pour les yeux avec la renaissance de la végétation.

Je pars pour une sorte de tour du plateau du Pinet en Chartreuse avec de nombreuses portions que je connais pas. Départ à 17h15 du parking de pré Orcel et montée à la croix de l'Alpe par la draye du Charmille que je n'avais pas fait. après quelques minutes de foulées sur un bon sentier à plat, l'itinéraire est direct : droit dans la pente ! A mi-hauteur, je tombe sur trois (et peut-être d'autres hors de mon champ de vision dans les rochers) bouquetins.

Le plus gros des trois bouquetins

Le plus gros des trois bouquetins

Je poursuis en me laissant naturellement porter sur le couloir de droite, le long des rochers. Belle ambiance. Par cette (relative) chaleur, monter à l'ombre (la face est orientée est) est un avantage. Quelques gamineries facultatives dans les dalles et je sors sur le plateau en notant soigneusement les coordonnées GPS du point de contact afin de pouvoir y revenir l'hiver à skis par le haut. Cinq minutes après, je suis à la croix de l'Alpe.

Des baskets en fin de vie et inadaptées à ce style de "conneries". Ne pas se fier aux images : on fait croire ce que l'on veut avec des images ;)

Des baskets en fin de vie et inadaptées à ce style de "conneries". Ne pas se fier aux images : on fait croire ce que l'on veut avec des images ;)

La vue depuis le plateau

La vue depuis le plateau

Dans l'autre sens, la croix de l'Alpe

Dans l'autre sens, la croix de l'Alpe

Des névés dans les trous ont à peine fondus. Immédiatement colonisés par les crocus

Des névés dans les trous ont à peine fondus. Immédiatement colonisés par les crocus

L'arrivée sur le plateau est vraiment classe en cette saison ; je prends un quart d'heure pour faire quelques photos puis descends vers le pas de l'Echelle où ça court. De là, je remonte en direction de la roche de Fitta et trouve une sente peu marquée avec vieilles taches de peinture bleue. Surtout ne pas la perdre, sinon, c'est la jungle de Chartreuse (trous, lapiaz, genévriers, bosquets touffus, troncs morts, racines...). Cela m'arrive une fois et c'est la galère ; heureusement, je le retrouve cinq minutes après. Je gagne le sommet sud du Pinet où la vue s'élargit puis le sommet nord par la crête et tantôt légèrement versant ouest.

Lapiaz

Lapiaz

Les crêtes du Pinet

Les crêtes du Pinet

Champignon rocheux

Champignon rocheux

Heureux d'être là

Heureux d'être là

Arrivée au Pinet nord

Arrivée au Pinet nord

La descente sur l'Alpette est assez atypique : elle emprunte la rive droite, le long d'une petite falaise, d'un talweg bien marqué orienté nord-est où la neige est encore intégralement présente. Moyennant quelques petites jonctions j'aurais pu skier deux-cent-cinquante mètres de dénivelé pratiquement jusqu'à l'Alpette à 1550 m d'altitude ! Finalement, avec ce retour d'hiver du 20 avril jusqu'à la semaine dernière, non seulement l'avance prise dans le déneigement a été stoppée pour retrouver des valeurs normales mais en plus, l'accumulation de neige en altitude a fait que l'épaisseur en montagne est maintenant également conforme aux normales.

Talweg nord-est du Pinet : classe !!

Talweg nord-est du Pinet : classe !!

Arrivée sur l'Alpette dans une belle lumière du soir. Je me pose pour le dîner et fait le tour du plateau (disons, un demi-tour), tout ça me valant sans doute une petite demie-heure confisquée mais qu'est-ce qu'on est bien ici ! Je n'aurai pas vu le moindre bipède durant toute cette soirée.

Coup d'oeil à la montre : il est 20h30. Il ne me reste que trente minutes et je voulais finir au sommet des rochers de Belles Ombres au coucher du soleil. Avec un peu plus de trois-cents mètres de dénivelé, beaucoup de plat et une navigation inconnue en terrain semi-boisé pour finir, je ne donne pas cher de mes chances. Un bon bourrinage en règle et ça passe à la minute près, bien que des nuages masquent les dernière instants du crépuscule.

Quinze minutes en courant pour finir par le col de Belles Ombres et me voilà de retour à la voiture. L'impression d'avoir fait 2500 mètres de dénivelé, autant par la variété des paysages rencontrés que par le temps passé là-haut et la lourdeur des jambes. Pourtant, tout juste 1200 au compteur : on est bien loin ici des trails balisés y compris sur les sentiers "caillasseux" de Belledonne mais c'est ça qu'on (que j') aime !!!

Magnifique Alpette !
Magnifique Alpette !

Magnifique Alpette !

Belles ombres aux Belles Ombres

Belles ombres aux Belles Ombres

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Rédigé par lta38

Publié dans #randonnée sportive

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Publié le 30 Avril 2017

La Dent, décor du début... et de la fin

La Dent, décor du début... et de la fin

Une forêt verdoyante !Une forêt verdoyante !

Une forêt verdoyante !

Du sommeil en retard depuis plusieurs jours = aucun programme défini à l'avance. Une bonne nuit réparatrice, un petit déjeuner en famille sur la terrasse, du tri d'images. Voilà une matinée bien remplie. Midi, c'est décidé. Je sors les baskets et pars pour un tour complet des Petites Roches : c'est l'altitude parfaite en ce moment pour profiter du tendre vert printanier et ne pas patauger dans la neige avec les chutes récentes. De nombreuses portions de sentiers me sont encore inconnues alors go.

12h30. Départ de Saint-Pancrasse par le sentier de "tour de pays" qui, grosso modo, passe juste au-dessus des falaises. C'est vert, c'est beau mais en revanche, c'est beaucoup plus exigeant que je ne le pensais : bec Margain, les Gaudes, cascade des Dioux, belvédère du Puy... Ca monte et ça descend tout le long. L'altitude d'arrivée (chapelle Saint-Michel) est à peine cinquante mètres au-dessus du parking de départ. J'avais bien en tête toutes ces montées/descentes mais je n'aurais pas imaginé les... neuf cents mètres de dénivelé à parcourir !!!

Saint Hil' : dans l'axe des rochers du midi

Saint Hil' : dans l'axe des rochers du midi

Une barre et ça repart

Une barre et ça repart

Jolis décors forestiersJolis décors forestiers

Jolis décors forestiers

Ce n'est pas la grande forme au col de Marcieu et je crains un peu le retour par la longue traversée sur la piste de ski de fond, surtout en voyant là-bas, tout au fond, la dent de Crolles !

Finalement, je me mets à trottiner dès le départ. La piste ne monte pas beaucoup et les deux-cents cinquante mètres de dénivelée positive passent bien. Et finalement, je vais réussir à courir sur l'intégralité du retour. Comme quoi, les chiffres, c'est une chose mais le côté "roulant" (ou pas) d'un itinéraire a vraiment son importance. D'où la différence que l'on a entre une Echappée Belle et ses "sentiers" cassants et un UTMB et ses boulevards. Paraîtrait même le Grand Duc, bien que nettement plus court, soit plus difficile que l'UTMB. C'est en tous cas ce que m'avait dit mon ami trop tôt disparu Olivier Cordeuil (vainqueur Grand Duc !!! et 20è - ou pas loin - à l'UTMB).

Chapelle Saint-Michel ; tout au fond à droite, la dent de Crolles !

Chapelle Saint-Michel ; tout au fond à droite, la dent de Crolles !

Les belles falaises de l'Aup du Seuil, un des plus beaux coins de Chartreuse

Les belles falaises de l'Aup du Seuil, un des plus beaux coins de Chartreuse

Retour finalement très agréable avec quelques rares sections les pieds dans la neigeRetour finalement très agréable avec quelques rares sections les pieds dans la neige

Retour finalement très agréable avec quelques rares sections les pieds dans la neige

Traversée des pistes de Saint-Hilaire : ça commence à sentir bon

Traversée des pistes de Saint-Hilaire : ça commence à sentir bon

4h30 pour ce parcours d'environ 28 km et 1300 m de dénivelé. Cela n'a rien d'un exploit, d'autant que j'y suis allé tranquille. Pour la petite histoire, j'ai "perdu" du temps en faisant régulièrement le point sur la carte (une bonne dizaine de fois), en prenant quelques photos (une bonne dizaine de fois aussi) et, mine de rien, ça prend bien une minute à chaque arrêt. Pour continuer sur les arrêts nécessaires, j'ai fait le plein d'eau aux Gaudes (j'avais emporté un litre et déjà but un demi-litre) et me suis octroyé deux minis pauses barre de céréales. Ainsi qu'une pause facultative d'environ dix minutes parce qu'on est là aussi pour profiter... d'être là et que justement si je ne fais pas de "compétition officielle", c'est peut-être justement parce que j'ai besoin de ce côté contemplatif.

Cela ne m'empêche pas d'être attaché aux horaires comme repères personnels ; pas seulement pour la performance personnelle mais aussi pour être capable de savoir le temps nécessaire à telle ou telle entreprise. Et ça marche plutôt bien.

Puisqu'on est dans cette notion de performance (très relative ici), je ne pouvais pas ignorer que pendant ce temps, on apprenait le décès d'Ueli Steck. Tôt le matin, avant qu'on en parle sur tous les médias, je suis tombé par hasard sur cette triste nouvelle que j'ai, dans un premier temps, cherché à recouper. Mais le miracle n'a pas eu lieu : son accident (chute au Nupste) a bien été confirmé.

Ueli faisait partie de ces pures lumières, ultra polyvalent (technique/physique/mental, grimpe/glace/mixte/haute altitude...) ; un des plus grands alpinistes que la planète ait engendré à ce jour. Il savait qu'il vivait sur le fil. Il savait que ça finirait peut-être/probablement comme ça. Il l'avait intégré, accepté. Mais il a vécu SA vie et c'étaient SES choix. Une vie remplie et intense. A la vitesse à laquelle il grimpait, il est sans doute déjà sur le plus haut des nuages. Ciao l'artiste.

La vie continue pour ceux qui restent "en-bas". Je ne peux m'empêcher de penser à Kilian Jornet, actuellement sur l'Everest et toute l'année "là-haut mais sur terre". Comme disait mon ami Pierre Gignoux, on va maintenant trembler un peu plus pour lui. Tout comme Ueli, Kilian et tant d'autres savent ce qu'ils risquent. Mais ils savent aussi tout ce qu'ils ont "gagné".

Modestement, à mon niveau, ce "petit" tour des Petites Roches m'aura beaucoup apporté. L'aventure continue et les projets ne manquent pas.

Une fois n'est pas coutume, un "emprunt" à IGN pour montrer le parcours du jour

Une fois n'est pas coutume, un "emprunt" à IGN pour montrer le parcours du jour

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Rédigé par lta38

Publié dans #randonnée sportive

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