ski-glisse

Publié le 7 Mars 2015

L Oeille sous un ciel bien gris

L Oeille sous un ciel bien gris

Après un mois de février bien rempli, mars débute beaucoup plus calmement. La faute aux conditions. Un fort vent de nord est venu ruiner la poudre et en faces sud, ce n est pas encore transformée. Après la sortie de ski le matin avec les filles, je monte à la Dent en fin d'après-midi. Le ciel s est franchement voilé. Heureusement, l'altitude étant faible, la neige est à point. Je croise le Mossiere parti une heure avant moi.

La partie finale du pas de l'Oeille est restée dure, tout le reste est revenu comme il faut. Autant dire que plus haut en altitude, on aura le choix entre les dégâts du vent en versants nord et la non transformée en sud. Pfff.

Les Black a l'œuvre.

Les Black a l'œuvre.

Pas la plus belle Dent de l'année mais une descente agréable et la satisfaction de voir qu avec les Black, sans me mettre dans le rouge, je mets le même temps (50 minutes) de montée que l'an dernier entre midi et deux quand je montais ventre à terre depuis Saint-Pancrasse. Un kilo de moins aux pieds, ça y fait !

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Rédigé par lta38

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Publié le 28 Février 2015

Suite au brouillard de dimanche dernier, je voulais revenir "finir le boulot". L'idée était à la base de rejoindre le col de la Valloire, quelques 1800 m de dénivelé au-dessus du parking d'un seul jet. Son orientation sud-ouest et ses pentes douces mis à part quelques talus en font un objectif envisageable même après de belles chutes de neige. La trace est là et ça monte vite. Je croise Pascal qui descend et a fait le tour par l'Eglise. "C'est beau là-haut". J'ai hâte d'y être car pour le moment, c'est la purée de pois, comme dimanche dernier mais en bien moins épais. J'en sors à 2000 m seulement. Déjà 1000 m que je grimpe. J'atteins le lac de la Folle après avoir suivi une "mauvaise" trace sans m'en apercevoir. Il est 15h30 (précision, je suis parti à 14h). Il me faut du coup redescendre une petite centaine de mètres sur le lac Blanc. Voyant que la trace est faite aussi sur le col d'Arguille, je vise finalement ce dernier qui paraît débonnaire alors que j'ai failli m'y faire très mal cet automne.

Montée au col d'Arguille

Montée au col d'Arguille

Le temps s'est voilé par rapport au matin mais il semblerait que ça se redégage un peu plus tard au vu de ce que je vois à l'ouest. Au-dessus de moi, les couloirs de la Grande Valloire me tendent les bras. Je ne les ai jamais fait. La neige est abondante mais me paraît stable. C'est un peu bizarre voire presomptueux d'annoncer que ça "paraît stable" alors que la nivologie est bien compliquée. Les accidents de ces derniers jours nous l'ont rappelé. Il y a même eu, je l'apprendrais le soir en rentrant, un skieur décédé au Charmant Som en Chartreuse. Par risque 2, à 1600 m d'altitude dans la combe nord-ouest que nous avons tous descendue en grosse poudre...

Mais aujourd'hui et ici, je le sens bien. La poudre n'a pas été ventée à part légèrement en surface. Il n'y a pas de cohésion. Le cône est bien convexe et court. Je serai rapidement dans le couloir et a priori à l'abri. Etant donnée l'heure, le soleil ne chauffera plus suffisamment pour que ça dégueule au-dessus alors go !

Quelques conversions dans le premier couloir puis je passe en mode brassage

Quelques conversions dans le premier couloir puis je passe en mode brassage

Après 100 m de dénivelé dans le cône d'attaque puis autant dans le premier couloir, je mets les skis sur le sac. Etant parti pour une rando tranquille, je n'ai pas de matériel d'alpinisme. Ni piolet, ni crampons. Mais bon, un couloir, même raide, si c'est bien poudreux, on s'en passe. Au pire, si il y a des ressauts en neige dure, eh bien je buterai. Je ne choisis pas le couloir est, évident et bien connu (mais rarement fréquenté) mais un autre couloir orienté nord-ouest et qui semble sortir très près du sommet, si toutefois ça passe. Je n'ai aucune info sur ce couloir. Ce sera la découverte.

Le vide se creuse peu à peu ; le soleil est revenu

Le vide se creuse peu à peu ; le soleil est revenu

La trace est fort pénible. par moment, je m'enfonce jusqu'à la taille. Mais quel bonheur d'être là. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas retrouvé dans une pente de cette envergue en solo.

Vers le haut, un beau billard

Vers le haut, un beau billard

Peu à peu les sections du couloir se dévoilent. Et à chaque fois, ça passe.

Des conditions de folie. La descente s'annonce facile.

Des conditions de folie. La descente s'annonce facile.

J'étais parti à 14h puis au pied du couloir à 16h. J'avais estimé qu'il y avait entre 400 et 500 m de dénivelé à monter dans le couloir. Je pensais régler ça en 1h. Il est déjà 17h15 et je ne suis pas encore en-haut...

Ca brasse mais le bonhomme a le sourire. Notez que le bas de la micro polaire est bien blanche. C'est dire si ça brasse !

Ca brasse mais le bonhomme a le sourire. Notez que le bas de la micro polaire est bien blanche. C'est dire si ça brasse !

Après une dernier coude, j'aperçois encore la sortie. Je brasse alors de plus belle dans cette dernière section à l'ombre. Pour sortir à la brèche, la pente devient très raide et la neige plus dure mais bien ancré sur les chaussures, j'arrive à planter les bâtons à l'envers et je sors sans souci.

Haut du couloir : l'entrée à 50° avec un super grip

Haut du couloir : l'entrée à 50° avec un super grip

Encore une petite section en face nord-est après la brèche et on aboutit sur l'arête sommitale à 2860 m d'altitude selon l'altimètre soit moins de 30 m sous le sommet. Le temps de me préparer et je vais attaquer la descente vers 17h45.

L'entrée ne pose pas de problème et les virages s'enchaînent rapidement

L'entrée ne pose pas de problème et les virages s'enchaînent rapidement

J'arrive alors dans la section au soleil. Quelle ambiance !!!

Coup d'oeil dans le rétro

Coup d'oeil dans le rétro

Coup d'oeil en bas. Ca se passe de commentaire.

Coup d'oeil en bas. Ca se passe de commentaire.

Le haut de la partie ensoleillée présente une neige ferme mais avec une super accroche et 5 à 10 cm de poudre dessus. La pente flirte avec les 50° à cet endroit mais ça passe tout seul.

Quelles conditions ! Quelle lumière ! Quel décor !

Quelles conditions ! Quelle lumière ! Quel décor !

Une nouvelle étroiture qui se gère facilement (cinq mètres de dérapage) et voici dans une section à l'ombre gavée de poudre.

Section à l'ombre à mi-hauteur

Section à l'ombre à mi-hauteur

Je m'arrête sans cesse pour faire des photos. On se sait plus où donner de la tête.

Rétroviseur sur les traces de la partie médiane

Rétroviseur sur les traces de la partie médiane

Lumière de plus en plus jaune

Lumière de plus en plus jaune

Epoustouflant !

Epoustouflant !

Petite variante bien raide. Avec cette neige, c'est plié en trois virages.

Petite variante bien raide. Avec cette neige, c'est plié en trois virages.

Les difficultés sont désormais derrière moi. Avec cette descente, j'ai retrouvé les réflexes de couloir. Les portions qui me paraissaient bien raides à la montée ne le sont pas tant à la descente. J'avais oublié ce "phénomène" de sensations.

Coup d'oeil dans le rétro

Coup d'oeil dans le rétro

Sur l'arête qui sépare les deux branches inférieures du couloir

Sur l'arête qui sépare les deux branches inférieures du couloir

Quelques courbes dans le cône et je rejoins l'ombre. Le soleil est maintenant bien bas et passé derrière l'arête de la Grande Roche. C'est le moment de se retourner et de contempler d'où l'on vient.

Cliquez sur les images. On voit bien les 2/3 du couloir. La partie finale à droite est masquée.Cliquez sur les images. On voit bien les 2/3 du couloir. La partie finale à droite est masquée.

Cliquez sur les images. On voit bien les 2/3 du couloir. La partie finale à droite est masquée.

Les traces venant du col de la Valloire

Les traces venant du col de la Valloire

Les chalets de la Grande Valloire ; notez la passerelle dont la hauteur de neige à cet endroit la dépasse allègrement. J'ai sondé 2m50 dans le talweg (1900 m d'altitude)

Les chalets de la Grande Valloire ; notez la passerelle dont la hauteur de neige à cet endroit la dépasse allègrement. J'ai sondé 2m50 dans le talweg (1900 m d'altitude)

Fin de journée exceptionnelle. La mer de nuages s'est presque entièrement dissipée en un quart d'heure. A l'ouest, un front est en vue. Signes d'un changement de temps. Je vais en profiter encore un peu en laissant parler le petit GM1.

Au fond le chalet de la Petite Valloire

Au fond le chalet de la Petite Valloire

Solitude absolue

Solitude absolue

Bis

Bis

Ter

Ter

Du très grand ski jusqu'au bout !Du très grand ski jusqu'au bout !

Du très grand ski jusqu'au bout !

Evitez les variantes tant qu'on n'a pas nettement dépassé le ruisseau Perdu !

Evitez les variantes tant qu'on n'a pas nettement dépassé le ruisseau Perdu !

Chacun se fera son opinion. La mienne peut être faussée par les conditions du jour : neige, lumière, solitude. Mais j'ai quand même envie de dire que cette Grande Valloire, c'est un sacré vallon. Il faut le mériter. Une forêt dense qui ne skie pas tous les ans (cette année, ça passe crème) et du dénivelé. A minima 1400 m pour sortir sur une crête. Et pas loin de 2000 pour les plus hauts sommets. Et ce couloir : 450 m de dénivelé, tortueux (à aucun moment on ne le voit en entier et durant l'ascension, on se demande tout le long si ça va passer), assez raide (on ne doit pas être loin de 45°/400 m - 5.2/E2) avec des sections courtes à 50°, qui sort tout près d'un des plus hauts sommets du massif (90 m de moins que le GPB seulement).

On a beau faire des dizaines de milliers de mètres de dénivelé. C'est quand même autre chose d'être là que d'enchaîner les Pravouta même si ces petites bosses de Chartreuse nous apportent beaucoup de plaisir.

Grande Valloire ; Grande Grande sortie aujourd'hui ! Ca va être dur de faire mieux cette saison.

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Rédigé par lta38

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Publié le 22 Février 2015

Orientation

En voici un beau parcours d'orientation. Prenez un sentier plutôt connu, presque par coeur. Mettez un bon gros mètre de neige dès le parking, et un petit peu aussi sur les troncs pour masquer le discret balisage. Rajoutez un zeste de brouillard à la sortie de la forêt (en fait, on n'y voyait pas à dix mètres) et il n'en faut pas plus pour décourager le randonneur qui creuse une profonde tranchée dans 60 cm de neige fraîche.

Orientation

Il faut dire que l'averse de neige de la veille a été brève mais d'une rare intensité. J'ai rarement vu tomber d'aussi gros flocons en plaine. 

Après avoir fait le point en de nombreux endroits, je réussis à rejoindre l'orée de la forêt et là, tout se complique. Le balisage est sous la neige. Blanc de chez blanc. Quelques arbres ça et là. Parfois, des pentes paraissant raides. Sans connaître, j'aurais fait demi-tour mais je sais qu'aucune pente susceptible d'être avalancheuse me domine. Je dois seulement me méfier de quelques talus un peu plus raides mais la neige est si légère et sans cohésion que les quatre-vingts centimètres de neige meuble ne m'inquiètent pas.

Je finis par trouver la passerelle. Remplie à ras la gueule (de la neige plus haut que les rambardes). Le petit chalet est vingt mètres au-dessus. Je tatonne pour le trouver ! Encore cinquante centimètres et il disparaît.

Orientation

Je m'y mets à l'abri pour éviter de m'enterrer en grignottant et en enlevant les peaux (sur ces skis, j'ai des étriers ce qui signifie ôter les planches pour enlever les peaux).

L'éclaircie ne viendra pas ; c'est une quasi certitude. Aussi, je me résous à descendre. Sur le faux plat sous le refuge, je me laisse glisser dans la trace. Je ne vois absolument rien. Un loup sera là à dix mètres que je ne le verrais pas.

Orientation

Avec les premiers arbres et les premières pentes, on peut se lacher et ça descend tout seul dans cette neige.

Orientation

Dans la forêt, la visibilité devient bien meilleure et les virages s'allongent quand les arbres le permettent. Les conditions sont ici excellentes.

Orientation

Un peu plus bas, je dévale à toute allure une belle trouée repérée en montant. Elle m'amène directement dans la fond du vallon sans encombre.

Orientation

Je n'ai pas eu l'éclaircie souhaitée, ni même la visibilité pour aller plus haut car malgré les grosses quantités de neige fraîche tombées en nord Belledonne, je n'ai pas observé le moindre signe de fragilité de cette couche comme ce fut le cas en Chartreuse (plaques déclenchées à Chamechaude et à Pravouta face ESE, chose rare) ou en Taillefer (un décès du côté du Tabor). J'étais donc confiant et motivé pour poursuivre mais l'absence de visibilité l'interdisait.

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Rédigé par lta38

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Publié le 19 Février 2015

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Oh la belle journée ! Plus de mer de nuages et si c'est moins joli que quand on est au-dessus, ça a l'avantage pour les enfants de démarrer directement de la voiture avec le soleil qui réchauffe le corps. On choisit un versant ouest pour ne pas avoir à partir aux aurores et en même temps, une vallée assez ouverte pour avoir quand même un soleil rasant à 10h lorsque l'on quitte le parking.

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Emie a commencé à pied (bien qu'elle veuille essayer les peaux mais le matériel n'est pas encore disponible). De toutes façons la trace de montée est damée par les passages. Stella suit en peaux.

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Luminosité parfaite. Et pour Emie, au final, pas mal de portions tractée sur ses skis.

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Stop après 500 m de dénivelé, au-dessus du pré de l'Arc après un départ de Prabert. Face à la Chartreuse. Pause déjeuner.

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La fine équipe !

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Des skis paraboliques dans un sens bizarre !!!

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Début de la descente sur la "route" d'Aiguebelle. Pas "osé" aller jusqu'à l'angle sud du jas des Lièvres ; la traversée sous la face ouest du Jas est plus longue que ce que je pensais. Même par risque 2. 

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Puis direct dans le pré où de récentes coupes de bois ont crée un espace facile à descendre. Neige transformée à point. C'ezst trop court, d'autant que la partie sur la route aura l'inconvénient de coller un peu malgré une heure optimale de descente.

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Encore une jolie "trouvaille" que cette rando enfant aux portes de Grenoble. Ca commence à faire pas mal de possibilités pour varier le temps que les enfants soient aptes à faire des choses de plus grandes envergures, à moins qu'ils ne préfèrent aller au cinéma, le tricot ou encore les arts et déco. Elles auront le choix.

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Rédigé par lta38

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Publié le 18 Février 2015

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Nouvelle journée de ski en famille. Un peu plus de monde sur les pistes mais ça reste très correct pour des vacances de février. Pas trop de stress bien qu'on n'aimerait ne pas voir ces ados qui, ayant une maîtrise des skis inférieure à celle de ma petite Emie (5 ans) et qui se font damer le pion par elle sur l'étroiture de la piste rouge "cembro" descendant des Plagnes (station du Collet-d'Allevard) passer, un peu plus tard, à pleine vitesse et en tout-droit à un mètre d'elle sur la piste verte. De la part d'un pisteur, cela ne me poserait pas de problème mais quand on sait que c'est quelqu'un capable de s'en mettre une à n'importe quel moment...

Mis à part ces petits moments de "solitude", une météo parfaite pour ces vacances et beaucoup de gens très courtois, qui ressentent aussi sans doute cette affluence réduite comme un bon d'air frais. On s'entraide quand un enfant est tombé en amont de ses parents. Peu de filous qui doublent dans les (courtes) files d'attente en passant sur les skis. Et des pisteurs bien à l'écoute. Y'a pas à dire, cette année, on a eu le meilleur créneau. Et quand on voit la semaine à venir... Consolation pour tout le monde : tout le monde aura de la neige ce qui n'était pas gagné il y a un mois.

Petit retour sur les skis d'enfant. Les tailles choisies s'avèrent parfaites à mon goût : 100 cm pour Emie, 120 cm pour Stella, toutes les deux exactement 8 cm plus grandes que leurs outils de glisse. Elles devraient même pouvoir entamer la saison prochaine avec. L'idée, c'est que ce soit un poil grand au début pour faire deux saisons avec. Et les bâtons respectivement 90 et 100. Même si en descente, ils ne servent encore pas à grand chose, ils aident à pousser dans les faux-plats et à s'équilibrer. Il faut bien un début à tout.

Lors de cette sortie, j'ai étrenné mon nouveau smartphone : un iPhone 5c. Jusqu'à présent, n'ayant pas des besoins énormes en téléphone mobile, j'ai toujours investi au minimum mais il faut reconnaître qu'avec les progrès de la technologie, un bon smartphone apporte pas mal de points positifs par rapport à un modèle de base et au bout d'à peine deux ans (depuis le début même pour certaines fonctions) mon HTC était déjà très à la ramasse. Alors, ayant eu un prix défiant tout concurrence (merci mon ami Philippe !), je me suis laissé tenté par un modèle minimaliste de chez Apple. Premier aperçu en ce qui concerne l'appareil photo en deux mots : c'est moins bon (heureusement) que mon Canon s100 mais c'est largement suffisant pour faire des photos largement montrables comme celle ci-dessus. Du coup, pour la première fois, j'ai un vrai appareil photo en permanence sur moi. La triplette iPhone / GM1 / 60D est donc nickel pour que, dans toutes les situations, je puisse avoir une image d'une qualité digne de ce nom. (le s100 étant passé dans les mains de Stella même si je le prends encore de temps en temps, notamment en escalade - je me vois mal sortir l'iPhone au relais - et zip !). Petite remarque sur la neige : des couleurs aux tons un peu trop chauds je pense.

Dernier petit coup de gueule pour finir. Je n'en peux plus de cet échangeur de Crolles. Passage obligé pour aller au nord ou en Belledonne ou en rive gauche ; c'est toujours autant le bordel. A quand un vrai échangeur où les diverses entrées/sorties d'autoroute ne se croisent pas ? (trois petites bretelles à construire).

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Rédigé par lta38

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