Publié le 15 Octobre 2022
Rien à ajouter. Mois magnifique et encore plus cette année. Quelques images encore.
Grimper, glisser, marcher ou tout simplement regarder. Tout (ou presque) ce que l'on peut faire ou voir en montagne (et parfois aussi ailleurs).
Publié le 15 Octobre 2022
Rien à ajouter. Mois magnifique et encore plus cette année. Quelques images encore.
Publié le 12 Octobre 2022
Je n'y vais plus avec autant d'assiduité qu'il y a quelques années mais le brame reste un prétexte à sortir, d'autant plus cette année qu'il est en retard et qu'il coïncide avec des couleurs exceptionnelles. Comme en 2003 après la canicule, l'automne 2022 s'annonce ultra flamboyant. Quelques images prises lors d'affûts ; de même que d'autres habitants de l'alpe qui se sont joints au festival.
Publié le 10 Octobre 2022
Serait-ce le plus beau mois de l'année ? Au niveau du décor, je ne suis pas la seul à le penser. Quelques sorties de ces derniers jours et il devrait y en avoir d'autres. La montagne explose en couleurs et il faut dire que cette année, elles sont particulièrement intenses !
Publié le 3 Octobre 2022
Ce n'est pas encore l'hiver mais ce n'est plus l'été. Les jours y sont aussi courts qu'en hiver et du même coup, la lumière aussi belle. Rechercher les meilleurs (= les plus beaux) moments pour être là-haut. Quelques exemples de ces derniers jours en images.
Publié le 19 Septembre 2022
Ca y est. La température est enfin tombée d'un cran. Le retour d'un franc soleil ce dimanche en montagne nous pousse à goûter aux lumières d'automne. Une première sortie tranquille avec les filles du côté de Belledonne au mont Saint-Mury nous permet d'entrevoir le Grand Pic. Et si je me faisais un petit tour express le lendemain ? Au passage, je n'ai jamais compté autant de voitures au virage de la Souille, point de départ habituel du lac Blanc. Je veux bien qu'il y ait des ramasseurs de champignons étant donnée la sortie massive de "edulis" mais la majorité doit bien être là pour le plus beau lac du massif. Je ne suis cependant plus du tout convaincu de l'intérêt de ce point de départ.
Lundi. J'attaque la montée au lac Blanc depuis la Gorge de Saint-Mury (parking du Chenevray - 900 m). Les jambes vont bien. Je bois un coup dans le ruisseau de Roche Noire puis attaque la moraine. Plus haut, je prends acte de la débâcle du glacier de Freydane. Il se cantonne vraiment au pied de la face nord-ouest et a complètement disparu du pierrier sous les rochers Rouges. A noter une bosse en son milieu. C'est intéressant de voir comme cette partie a mieux résisté depuis l'éboulement de 2008 qui a protégé la glace des agressions du soleil. Quatorze années qui attestent de la fonte du reste. Un désastre. Il reste tout de même quelques jolies crevasses. Quelques pas sur la glace et j'attaque l'infâme bousier du col de la Balmette. Je dépose mon t-shirt pour le faire sécher et repars en polaire dans la face nord, plongée dans l'ombre et le froid (et même un peu de neige). 2h34 après être parti, je débarque au sommet. Je ne pensais pas aller aussi vite. Je savoure ces instants magiques à près de 3000 mètres sans âme qui vive avant de me coltiner les 2100 mètres de dénivelé de descente. Finalement, ils passent bien. Il y a bien quelques portions pénibles mais ça déroule. Superbe après-midi dans Belledonne "wilderness retrouvée".
Un mot (de plus) à propos du départ du Chenevray (900 m). Je fais l'aller-retour en 4h27 exactement. Il y a onze ans, alors que j'avais la grosse forme, j'étais parti du parking de la Souille (1350 m). L'aller-retour était passé en 4h23. Ce qui est certain, c'est que je suis allé moins vite aujourd'hui. Difficile de comparer mais peut-être une quinzaine de minutes de plus sur l'aller-retour. Au moins dix sans aucun doute. Ce qui signifie donc que le parcours depuis le second parking, pourtant 450 m plus haut, reste plus long !! C'était ce que je pensais depuis plusieurs années ; je n'en ai maintenant plus aucun doute. Cela est dû à la grande (et pénible au retour) traversée du départ qui monte et descend de nombreuses fois. Si à l'aller on doit quand même gagner quatre à cinq minutes, au retour, on en perd énormément, contrairement à l'affichage du panneau au croisement 1500 m. Ajoutons que la piste de Pré Long s'est nettement dégradée. Il faut compter 20 minutes de route supplémentaires à l'aller et autant au retour. Aussi, le départ pour le secteur du lac Blanc depuis le Chenevray fait économiser autour de trois-quarts d'heure, voire davantage si on est rapide.
Après, avec des personnes qui restent limités (psychologiquement et/ou physiquement) par la barre des mille mètres de dénivelé, on pourra quand même choisir le parking du haut, tout en prenant note que la descente sera donc presque aussi longue que la montée.