Publié le 21 Septembre 2014
paysages
Publié le 10 Août 2014
Incontournables lors d'un séjour sur les rives du lac majeur les îles Borromées s'accèdent en bateau depuis Bavena ou Stresa. Y'a juste à se laisser guider par les "rabatteurs" à touristes. En même temps, ils parlent toutes les langues, nous expliquent tout et c'est clés en mains.
Nous avons fait l'île des Pêcheurs et isola Bella mais pas la Madre qui demande un supplément pour la visite. De même que les jardins de l'île Belle sont également payants. Ici il faut avoir le porte-feuille bien rempli. Idem pour les logements (encore qu'on a trouvé un camping fort agréable, bien propre et raisonnable au niveau des tarifs (35€ la nuit à 4 - le Lido Toce) et l'essence bien plus chère que chez nous. En revanche, l'espresso est à 1€ (et ça va être difficile de revenir au jus de chaussette français), i gelati à 2 ou 3€ selon la taille du cornet. C'est moitié prix d'en France et bien meilleur.
Sinon, il y a également quelques villes/village incontournables : Feriolo, Mergozzo (au bord du lac éponyme), Bavena, Stresa... En revanche, inutile d'aller faire un tour à Verbania, circulez y'a rien à voir. A la limite un petit passage dans Intra et encore si on s'ennuie. Préférez plus au sud : Lesa, Arona...
Publié le 23 Juin 2014
La seconde quinzaine de juin et le début juillet sont les meilleurs moments pour rencontrer ce fleuron de la blotanique alpine. C'est de loin ma fleur préférée. Colorée, grande, majestueuse même, fragile... Il faut prendre garde à ne pas piétiner les stations. En Belledonne, on le rencontre versant Romanche-Eau-d'Olle : escalades aux rochers de l'Homme, pic de la Fare, montée aux Sept-Laux depuis le Rivier-d'Allemont...
De toutes façons le mois de juin est vraiment le mois où la flore explose en montagne, les lys se mélangeant à de nombreuses autres espèces.
Publié le 10 Juin 2014
Publié le 28 Mai 2014
Grosse fatigue, mal au genou... L'occasion de prendre l'air, reflex en bandoulière et 60 macro vissé dessus.
Beaucoup d'orchidées (ne me demandez pas une précision des espèces...).
C'est quand même un sacré objectif ce 60 macro Canon. Cependant, je n'ai ni l'expérience, ni l'envie d'en faire davantage. Des images souvent mal orientées question netteté, cadrages... mais qui me suffisent pour avoir, dans ma photothèque, quelques portraits convenables de quelques fleurs de nos régions.
Oeillets, centaurées... la saison bat son plein. De mon côté, si j'ai la patience pour approcher l'animal et passer des heures avant de faire une image de cerf ou de coq, une fois le sujet dans le cadre, il faut que ça déclenche. Pour la macro, c'est l'inverse. La plupart des sujets sont faciles à trouver ; en revanche, il faut mettre en place un véritable "studio d'extérieur" avant de déclencher, pour arriver à de bons résultats. Toute cette mise en place ne me motive pas plus que ça aujourd'hui. Peut-être un jour... Je garde quand même mon objectif pour le moment.