ski-glisse

Publié le 29 Mars 2020

Je la considère comme terminée. Elle était partie sur les chapeaux de roues. L'anticyclone de janvier et les pluies succédant systématiquement aux épisodes neigeux l'ont rendue en demi-teinte. Avec le glas sonné par Macron le 17 mars. Je dis bien par Macron et non par le Covid-19. Disons par les deux car si l'épidémie est un véritable fléau indiscutable, il semble qu'une partie du problème soit notre incapacité à soigner beaucoup de monde en simultané et cela, nous la devons à tous nos gouvernements, l'actuel inclus, qui depuis des années, ont massacré le service public, santé incluse.

Bon et le ski alors. Pour moi, la saison s'est terminée par une journée test. En vue de la présentation des modèles larges (95 => 106 au patin) destinés à la randonnée dans Montagnes Magazine fin octobre prochain. Un test réalisé avec des conditions de neige peu intéressantes mais qui a permis d'observer des comportements sur plus de quinze paires de skis, grâce aux amis venus massivement en renfort ce jour-là : merci les gars (Henri-Luc, Marc, Stéphane, Lio, Fabien, Bruno, Vincent).

Alors, saison vraiment terminée ? Quelques rares skieurs bravent encore l'interdit de sortir. Je ne juge pas. Si ce sont des proches et qu'on a l'occasion d'en parler, je leur donne mon point de vue. A titre personnel, j'obéis à la demande générale aujourd'hui alors que j'ai plutôt tendance à ne pas être très sage pour ce genre de choses. Ce n'est pas la peur de l'amende (quoique ; 135 balles, ça fait quand même mal) ; ce n'est pas par peur de me blesser (si je décidais de sortir, ce serait peut-être même pas à skis et vraiment sur du cool en limitant au maximum le risque de blessure) ; c'est surtout par décence. Alors qu'aujourd'hui, les soignants et secouristes nous demandent de ne pas sortir pour les raisons que tout le monde sait (et par ailleurs, l'argument "je ne me mettrai pas en danger" ne serait pas valable puisqu'on sait bien que si tout le monde sortait, il y en aurait forcément qui dépasseraient "la" limite + l'émulation générale...), je ne me sens vraiment pas ne pas les écouter et de profiter de mon côté (n'étant, pas ailleurs, pas en vacances) pendant qu'eux sont dans le dur. L'argument est plutôt un argument de solidarité, d'exemple mais aussi parce que si tout le monde sort, cela ne fonctionnera pas. On est bien dans un cas de force majeure. Exceptionnel. Cela ne me paraît pas du tout incompatible avec les taquineries qui subsistent en temps normal, lorsque beaucoup sont au bureau et que je poste des images de poudre. Là, c'est clairement différent parce qu'il s'agit d'un choix. Celui, en ce qui me concerne, d'avoir choisi un métier qui ne paye pas énormément mais qui, en revanche, laisse une certaine liberté d'organisation de son travail et donc, de la disponibilité pour sortir.

Bon alors, et cette saison ? Admettons que nous puissions ressortir à la mi-avril ! Alors oui, je pense pouvoir ressortir les skis. Sauf que je n'y crois pas du tout. Début mai ? Peut-être, mais peut-être aussi que j'aurai envie de profiter du printemps (donc en montagne) dont on est quand même bien privés en ce moment. Alors on verra. Il est possible/probable que je ressorte les skis mais le gros est bel et bien derrière.

En attendant, à nous de savoir occuper nos journées autrement. Pour ma part, c'est beaucoup de boulot sur différents plans : suivi de mes élèves, publications à venir (et il y en a). Je prends de l'avance pour mieux pouvoir sortir ensuite. L'occasion de bricoler aussi un peu, trier des photos... Au moment de publier ce billet, j'apprends que Blanquer annonce le maintien des vacances de Pâques. A mon humble avis cette annonce est une erreur. Pour plusieurs raisons. Tout d'abord, clairement, il y aura du retard pris sur le programme scolaire en raison de la crise. Ensuite, nous sommes confinés et beaucoup se plaignent de la monotonie des journées. Le fait d'être coincés chez nous était une excellente occasion pour continuer à travailler, de manière peut-être un peu plus modérée. Je sais aussi que dans le cas contraire, des voix se seraient élevés pour crier au scandale (si les vacances étaient, en quelque sorte, modifiées). Il n'en demeure pas moins que je pense qu'on rate une occasion de limiter les dégâts.

Bon allez, petit retour sur quelques unes des sorties en images. Une saison pas comme les autres.

Début le 10 novembre au Collet-d'Allevard

Début le 10 novembre au Collet-d'Allevard

Deux jours après, avec le Tintin, on enquille 2000 dans les aiguilles de l'Argentière

Deux jours après, avec le Tintin, on enquille 2000 dans les aiguilles de l'Argentière

A peine mi-novembre et déjà une belle première sortie pour Emie (10 ans) à Chamrousse

A peine mi-novembre et déjà une belle première sortie pour Emie (10 ans) à Chamrousse

Les belles sorties s'enchaînent : couloir de la Grande Valloire, encore avec Nico et première sortie ensemble avec Julien. Il y en aura d'autres.

Les belles sorties s'enchaînent : couloir de la Grande Valloire, encore avec Nico et première sortie ensemble avec Julien. Il y en aura d'autres.

L'équipe du mardi. Lolo, DZ, Tintin et Bibi. Un grand tour en Lauzière

L'équipe du mardi. Lolo, DZ, Tintin et Bibi. Un grand tour en Lauzière

En alpin, les sorties commencent bien avec les filles

En alpin, les sorties commencent bien avec les filles

Et même quelques randos. Ce jour-là sonnera le glaz avec, le lendemain (12/12) verra la première pluie d'une longue série.

Et même quelques randos. Ce jour-là sonnera le glaz avec, le lendemain (12/12) verra la première pluie d'une longue série.

Au final, une petite couche de neige salvatrice viendra sauver les vacances en terme de qualité de ski. Et du soleil : pratiquement une sortie tous les jours après Noël. Essentiellement en belledonne
Au final, une petite couche de neige salvatrice viendra sauver les vacances en terme de qualité de ski. Et du soleil : pratiquement une sortie tous les jours après Noël. Essentiellement en belledonne
Au final, une petite couche de neige salvatrice viendra sauver les vacances en terme de qualité de ski. Et du soleil : pratiquement une sortie tous les jours après Noël. Essentiellement en belledonne

Au final, une petite couche de neige salvatrice viendra sauver les vacances en terme de qualité de ski. Et du soleil : pratiquement une sortie tous les jours après Noël. Essentiellement en belledonne

Les filles au Grand Rocher

Les filles au Grand Rocher

Du coup, on passe en mode transfo : couloir SW des Grands Moulins le 11 janvier.

Du coup, on passe en mode transfo : couloir SW des Grands Moulins le 11 janvier.

Ou pas. Encore avec Nico, et Guillaume. Une très belle journée en Belledonne

Ou pas. Encore avec Nico, et Guillaume. Une très belle journée en Belledonne

Avec les filles : Stella au Grand Eulier, Emie à l'Aup du Seuil
Avec les filles : Stella au Grand Eulier, Emie à l'Aup du Seuil

Avec les filles : Stella au Grand Eulier, Emie à l'Aup du Seuil

Et même de la poudre en Chartreuse

Et même de la poudre en Chartreuse

Rando famille à Valpelouse

Rando famille à Valpelouse

Une petite traversée de Chartreuse, en partie avec Lucile et Olivier

Une petite traversée de Chartreuse, en partie avec Lucile et Olivier

La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.
La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.

La Norvège... Lyngen. C'est passé ric-rac. Un séjour avec le Tintin qui a comblé pratiquement toutes les espérances : 12 courses dont 4 couloirs raides, un décor exceptionnel, du grand ski, des animaux (élans, pygargues, phoques...), des aurores boréales et beaucoup, beaucoup de neige. Le tout avec le côté aventure de la recherche et d'un minimum d'éloignement.

Enchaîné par un petit séjour en famille en Maurienne

Enchaîné par un petit séjour en famille en Maurienne

Vacances d'hiver ponctuées par la meilleure journée de poudre de la saison. Ici, 2000 m sur l'envers du Collet d'Allevard.

Vacances d'hiver ponctuées par la meilleure journée de poudre de la saison. Ici, 2000 m sur l'envers du Collet d'Allevard.

Dernier coup de station avec les filles

Dernier coup de station avec les filles

Journée ski-test avec les copains
Journée ski-test avec les copains
Journée ski-test avec les copains
Journée ski-test avec les copains
Journée ski-test avec les copains

Journée ski-test avec les copains

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Rédigé par lta38

Publié dans #ski-glisse

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Publié le 14 Mars 2020

Une collective à la Dent était prévue le mardi suivant. On y croit encore. C'est dingue comme les mentalités de chacun d'entre nous ont évolué de jour en jour ces derniers temps. L'idée était de monter vérifier que l'enneigement y est suffisant, tout en laissant les habituelles touffes de rhododendron de fin de saison indispensables à une descente ludique. Il faut dire que cette année, l'enneigement de ce sommet emblématique touche déjà à sa fin. Parking à 1200 m, bas de face à 1400 m plein soleil (ouest) et sommet à 2062 m avec un ensemble globalement sud-ouest. Avec un hiver aussi faible en neige de moyenne montagne, comment pouvait-il en être autrement ?
Sur ces dix dernières années, j'ai noté la date du 31 mars comme dernier jour skiable de manière raisonnable (portage limité sur la route, prairie sans déchaussage mais avec quelques facéties). Mardi, nous serons le 17 soit grosso modo quinze jours avant la date. C'est ce que je disais à Cécile en montant lors de cette reconnaissance. Cette année, le printemps a 15 jours d'avance en moyenne montagne, au moins autant en plaine. Et encore, sur la moyenne de ces dix dernières années. Je ne veux même pas entendre parler des années 80.

Avouons-le, ce repérage était inutile : d'abord parce que cette fois, le confinement se profile à l'horizon (mais j'avoue qu'à ce moment-là, je ne pensais pas que les restrictions seraient ce qu'elles sont devenues) mais aussi parce que connaissant par coeur ce sommet, je sais bien que lorsque l'on voit la prairie quasi sèche de loin, elle est encore loin d'être sèche. Mais bon, comme ça je pourrai rassurer les invités sur des preuves irréfutables...

Au final, il n'y aura pas d'invité puisque le rassemblement tombera à l'eau (je l'annulerai avant les déclarations de Macron) et ce sera la dernière Dent à skis de la saison, à moins de retrouver la liberté pas trop tard au printemps et qu'une glaciation subite (ce qui n'est pas rare) vienne remettre le terrain propice à la glisse.

Et sans oublier la qualité de ski quand même : sans doute la meilleure de la saison. Une crème de haut en bas en attaquant à 14h30. Les Ronin 98 ont bien fait leur baptême du feu !

La dernière Dent à skis de la saison ?

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Rédigé par lta38

Publié dans #Chartreuse, #ski-glisse

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Publié le 11 Mars 2020

Ce titre a été choisi a posteriori puisque ce billet est rédigé une semaine après la réalité. Le matin même, j'ai beaucoup hésité à proposer aux filles une sortie en station. 
Contre :
- On revient de vacances et on vient de faire du bon ski en Maurienne.
- les conditions ne sont pas terribles : ce sera mou.
Pour :

- Les vacances sont terminées ; il ne devrait pas y avoir grand monde
- Les vacances sont terminées, on repasse au tarif basse saison (9,80€ les 4 heures pour les filles aux 7 Laux avec la Cinesnowcard)
- Il fait grand beau et chaud.

Il n'en faut pas plus pour me décider. Ce que je ne pensais pas encore ce jour-là, c'est que la station fermerait quelques jours après suite à la crise causée par le Covid-19. Bien m'en a pris, ce sera donc la dernière sortie de ski alpin pour les filles de cette saison 2020. Une saison assez bien remplie jusque là pour elle. Reste à voir si elles pourront la terminer par deux ou trois randonnées.

Comme prévu, des pistes calmes, un franc soleil et une neige molle. Mais pas si pire à skier et de quoi se lancer dans les pistes raides (les Faucons...) qu'habituellement nous évitons lorsqu'elles sont criblées de bosses gelées.

Et compte tenu de la mer de nuages qui s'est formée à la mi-journée, ici mieux qu'en bas.

La dernière de la saison ?

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Rédigé par lta38

Publié dans #Belledonne, #ski-glisse

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Publié le 8 Mars 2020

De retour de Norvège puis de Maurienne et il reste un dernier jour avant la reprise. Grand beau. Poudre ? Probablement. Ayant été déconnecté de Belledonne quelques jours perturbés, je ne reconnais pas trop mon massif qui a pris un petit coup d'hiver. On verra bien ; je pars pour le Collet-d'Allevard histoire d'aller faire un tour sur l'envers. Je n'ai pas l'intention de faire un gros dénivelé ni de rentrer tard ; aussi je prends les skis larges (100 au patin) et les chaussures lourdes (4 crochets, 2700 g) pour appuyer sur le côté plaisir en descente.

Arrivé au sommet des Plagnes, je m'aperçois qu'il y a peu de traces de l'autre côté mais que du coup, il y a aussi la trace de remontée qui est faite. Intéressant tout ça. Je me lance, premier virage, deuxième. Pouah les conditions !!! Descente en grandes courbes et me voilà très vite 400 mètres plus bas sur le replat d'Orgeval. Je remets les peaux. Et là, je commence à me dire que j'aurais dû prendre des chaussures plus légères. Dans ce type de neige (poudre pas trop profonde, ultra-légère et donc très facile à skier sans fatigue), il n'y a pas besoin de chaussures trop rigides pour le type de ski que nous faisons. De même de skis trop larges. Certes les 85 auraient été un peu justes à mon goût (notamment trop légers) mais avec les 94 et les Gignoux aux pieds, c'eut été le meilleur combo. Mais l'heure n'est pas aux regrets. Une fois en-haut, je me pointe au niveau de la corniche située à l'arrivée du télésiège. Il y a du monde au balcon. La grande pente la plus raide juste derrière donne dans une large combe 250 mètres plus bas et est toujours intégralement vierge. Go ! Compte tenu de la raideur du départ, je ne me retourne pas car ça devrait partir en petite coulée. Douze virages plus bas, c'est plié. Et effectivement, ça a un peu coulé derrière moi. Deuxième remontée du versant est. Je ne peux pas en rester là. Alors go pour une troisième ligne en optimisant des portions encore vierges. C'est toujours aussi bon. Le dénivelé commence à s'accumuler. Bien plus que prévu. On remonte une troisième fois donc... Pour redescendre une quatrième fois par un couloir plus au nord donnant sur Clapier. Des conditions assez incroyables jusqu'à l'entrée de la forêt. Bon, il faut encore tout remonter maintenant et en plus, il faut tracer. 14h. Je suis au sommet. La neige commence très légèrement à s'alourdir. Les jambes aussi. Allez, on plie tranquillement jusqu'à la voiture.

Une sacrée matinée de poudre pour finir les vacances !

Un aperçu des conditions... l'heure n'était pas à faire des photos !
Un aperçu des conditions... l'heure n'était pas à faire des photos !
Un aperçu des conditions... l'heure n'était pas à faire des photos !
Un aperçu des conditions... l'heure n'était pas à faire des photos !

Un aperçu des conditions... l'heure n'était pas à faire des photos !

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Rédigé par lta38

Publié dans #Belledonne, #ski-glisse

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Publié le 7 Mars 2020

Retour en arrière sur quatre jours de la seconde semaine des vacances. Après la Norvège, direction Aussois. Sans doute LA semaine hivernale de ce début d'année 2020.

Premier jour, grand beau, ski alpin en famille. Après quoi, je prolonge la dernière montée par un petit tour à peaux jusqu'au col des Hauts. La trace de montée est faite mais tous les skieurs ont traversé. Très bonne poudre. Je termine en rejoignant la piste noire des Balmes. Vraiment raide. Une noire à ne pas mettre sous toutes les spatules.

Deuxième jour sous la neige puis sous la pluie puis sous la neige. Petites balades dans le coin, piscine, un peu de boulot aussi et snow tubing pour les filles.

J3 comme le premier : poudre et soleil en alpin + peaux pour bibi. Neige excellente.

Dernier jour avec la visite le matin de Bonneval-sur-Arc et ses chalets croulants sous la neige. Ensuite, direction l'Ecot pour une balade à pied (le chemin de montée est damé). Paysages magnifiques.

Aussois
Aussois
Aussois
Aussois
Aussois

Aussois

Ski alpin
Ski alpin
Ski alpin
Ski alpin

Ski alpin

En rando
En rando

En rando

Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc

Bonneval-sur-Arc

Balade à l'Ecot
Balade à l'Ecot
Balade à l'Ecot
Balade à l'Ecot
Balade à l'Ecot
Balade à l'Ecot

Balade à l'Ecot

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Rédigé par lta38

Publié dans #ski-glisse, #balade, #paysages

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