Publié le 8 Juillet 2025

Ce petit village de pêcheurs est célèbre chez les ornithologues pour son immense colonie de mouettes tridactyles. Mais ce n'est pas la seule espèce intéressante qu'on peut observer ici. Lors d'un passage, on n'hésitera pas à prendre une journée complète pour faire le tour de la presqu'île puis aller se balader de l'autre côté, sur les collines intérieures, où les (bonnes) surprises sont régulières.

Mouettes tridactyles
Mouettes tridactyles

Mouettes tridactyles

Grand gravelot

Grand gravelot

Lagopède des saules

Lagopède des saules

Phalarope à bec étroit
Phalarope à bec étroit

Phalarope à bec étroit

Combattant varié

Combattant varié

Rorqual
Rorqual

Rorqual

Pygargue à queue blanche
Pygargue à queue blanche

Pygargue à queue blanche

Guillemot à miroir

Guillemot à miroir

Barge à queue noire

Barge à queue noire

Courlis corlieu

Courlis corlieu

Chevalier Sylvain

Chevalier Sylvain

Bécasseau variable

Bécasseau variable

Barge rousse

Barge rousse

Pluvier doré
Pluvier doré

Pluvier doré

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Rédigé par lta38

Publié dans #Norvège, #animaux

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Publié le 7 Juillet 2025

Cette petite presqu'île est un enchantement. Entre les limicoles, les pipits à gorge rousse et les surprises (harelde, phalarope, vison...), nous y avons consacré deux journées tellement elle s'affirme comme un concentré de richesses.

Pipit à gorge rousse
Pipit à gorge rousse
Pipit à gorge rousse
Pipit à gorge rousse
Pipit à gorge rousse

Pipit à gorge rousse

Pipit farlouse

Pipit farlouse

Chevalier gambette (+ 1 combattant varié à trouver)
Chevalier gambette (+ 1 combattant varié à trouver)
Chevalier gambette (+ 1 combattant varié à trouver)
Chevalier gambette (+ 1 combattant varié à trouver)

Chevalier gambette (+ 1 combattant varié à trouver)

Vison d'Amérique
Vison d'Amérique
Vison d'Amérique

Vison d'Amérique

Lièvre variable
Lièvre variable
Lièvre variable
Lièvre variable

Lièvre variable

ider à duvet

ider à duvet

Harelde boréale

Harelde boréale

Sizerins flammé et blanchâtre
Sizerins flammé et blanchâtre

Sizerins flammé et blanchâtre

Phalarope à bec étroit

Phalarope à bec étroit

Huîtrier pie

Huîtrier pie

Corneille mantelée

Corneille mantelée

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Rédigé par lta38

Publié dans #Norvège, #animaux

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Publié le 6 Juillet 2025

Voici un oiseau bien présent en France mais pas si fréquent en tant que nicheur. Et à titre personnel, je ne l'avais jamais observé. Au Varanger, il y en a dans tous les coins. Il s'agit de la sous-espèce svecica (à miroir roux).

(en dernier la femelle)
(en dernier la femelle)
(en dernier la femelle)
(en dernier la femelle)
(en dernier la femelle)
(en dernier la femelle)

(en dernier la femelle)

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Rédigé par lta38

Publié dans #Norvège, #animaux

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Publié le 5 Juillet 2025

C'était un site que je voulais visiter absolument, à la recherche des oiseaux du grand nord dans leur plumage nuptial. Avec Nico, nous avons arpenté la péninsule durant des heures, aidés par une météo clémente et en même temps, harcelés par les moustiques.
On rentre des images plein la tête, et quelques unes sur les cartes mémoire. En attendant de tout traiter, un tout petit aperçu de ce site encore préservé de l'emprise de l'homme.

Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger
Varanger

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Rédigé par lta38

Publié dans #Norvège, #animaux

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Publié le 4 Juillet 2025

Sorti du contexte, qu'évoque ce mot pour la majorité des gens ? Peut-être la carte de paiement, la carte à jouer ; éventuellement la carte du monde ou la carte du restaurant mais très certainement pas la carte topographique.

Il y a quelques années, on rencontrait en montagne, toutes activités confondues, deux types de pratiquants : ceux qui savaient globalement se servir d'une carte (topographique donc) et ceux qui essayaient de se dépatouiller avec. Mais tous (allez, hormis quelques vacanciers qui se promenaient avec un plan de l'office du tourisme local, qui peut toutefois être assimilé à une carte très simplifiée) avaient un point commun : la carte dans le sac à dos ou, plus récemment, sur une application électronique type IphiGéNie.

Aujourd'hui, ces deux catégories perdurent mais une troisième est née en parallèle : les randonneurs sans carte. Partis suite à une suggestion sur Instagram, ils ont identifié le parking puis gèrent la sortie avec les panneaux et des questions posées aux randonneurs rencontrés en chemin, s'aidant parfois de Google Maps, application quasi inutile voire dangereuse en montagne. Souvent, cela se passe sans encombre ; surtout parce que les objectifs sont très modestes, très bien balisés et qu'ils n'y sont jamais seuls. Mais cela se corse dès que les contraintes augmentent et même si en proportion, les incidents sont mineurs, ce manque de préparation et d'expérience se paie, en valeur absolue, en plusieurs dizaines de secours par saison. La montagne est un milieu aléatoire. On ne peut pas jeter la pierre, c'est le cas de le dire, au grimpeur victime d'un bloc rocheux, au skieur victime d'une avalanche... En revanche, on est tenté de passer un savon à qui se fait récupérer sur un sentier sans encombre techniquement, perdu dans un brouillard annoncé et par absence de moyen (et de compétence) d'orientation.

La carte (en France, celle de l'IGN au 1:25000 quel que soit le support ; a minima ou en complément les fonds de carte collaboratifs opentopomap) demeure indispensable en montagne. A minima la carte électronique mais avec la précaution que le support ne se décharge pas totalement en énergie. S'en priver demeure une erreur grossière et de débutant car pour le coup, le coût n'est pas très élevé. Mais encore faut-il savoir la lire. Je me souviens d'une question sur les réseaux où un "randonneur" demandait si le sentier vert sur la carte était facile. Ce sentier vert, représenté par un trait vert large, n'était autre qu'une limite de réserve naturelle... On a bien rigolé ; c'est déjà ça. Il est passé pour un idiot (tant pis pour lui). Un manque total d'autonomie puisque la première chose à faire, avant même de savoir s'orienter, c'est de connaître la signification des marquages d'une carte ce qui s'appelle une légende. Et si on ne maîtrise pas tout, c'est quand même très simple d'aller consulter ladite légende avant de poser des questions stupides. On se dit surtout que d'autres sont très certainement partis faire le sentier vert sans avoir posé la question. On n'a pas vu le compte-rendu de la sortie sur Insta...

La société de consommation, celle du "je veux tout, tout de suite", s'exporte aussi en montagne. Plutôt que de réfléchir, on demande à "tchatgépété" ; c'est plus rapide. James Cameron l'avait prévenu en 1984. Fan de technologie, je reste mitigé. A partir du moment où les secours explosent pour des situations mal préparées (orientation ou autre), c'est qu'il y a une erreur du pratiquant. Vaste débat ; curseur difficile à placer ; constat limite grotesque quand soi-même on a fait pas mal de conneries dans sa carrière montagnarde...

Je reste néanmoins un fervent défenseur de la carte topographique, forme (la posséder) et fond (savoir s'en servir) et invite tous les néo-randonneurs à prendre le temps d'apprivoiser cet outil indispensable en montagne.

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Rédigé par lta38

Publié dans #humeur

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