Publié le 8 Septembre 2021

D'autant plus qu'en ce début de mois de septembre, on bénéficie de températures qu'on aurait bien aimé avoir en juillet ! Et avec le petit vent sur les crêtes de cette longue échine entre Bréda et Grésivaudan, on a eu le luxe de devoir sortir les doudounes.

Une petite sortie d'après cours pour tout le monde qui fait du bien en cette rentrée un peu chargée (et toujours un peu exigeante). Peu de mots, peu de monts... et peu d'images ces derniers temps en raison de contraintes un peu excessives mais on espère que la suite sera un peu plus animée là-haut.

Petite anecdote du jour : chargés par une jeune vache peut-être non contente de nous voir traverser le troupeau !! Rien de méchant, juste de l'intimidation peut-être.

Ici mieux qu'en bas
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Rédigé par lta38

Publié dans #Belledonne, #balade

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Publié le 4 Septembre 2021

Cet été aura battu des records de chaleur en de nombreux points de la planète : presque 50°C au Canada, de la pluie à 3000 m d'altitude sur la calotte glaciaire du Greenland, canicules en Europe du sud et de l'est.

Et pourtant, la France aura connu un été relativement frais et pluvieux (orageux). Même s'il faut relativiser en le comparant aux étés du XXè siècle. En tous cas, si on remonte jusqu'en 2008 (données accessibles sur l'excellent site ROMMA), il n'est jamais arrivé que la station météo du Versoud en Isère n'affiche aucun jour de très forte chaleur (i.e. > 35°C) durant un été. Je serais curieux de savoir à quand faut-il remonter pour égaler ce score de 2021. Qui a (ou saurait où trouver) les données ?. Ce petit record devrait tenir car je ne crois pas à une telle valeur au-delà de la mi-septembre.

Ne nous y trompons pas, le réchauffement de nature anthropique est malheureusement bien engagé à l'échelle de la planète malgré ces variations locales. Une preuve parmi d'autres, cet article du Dauphiné Libéré annonçant la température exceptionnelle de 35°C à Grenoble le 29 juillet 1947...

Et pourtant...

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Rédigé par lta38

Publié dans #nivo-météo

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Publié le 2 Septembre 2021

On y est. Les premiers raires ont été entendus. Dans les Bauges, en Chartreuse, et encore plus dans les Abruzzes, les premiers concerfs approchent. Plus généralement, la montagne devrait commencer à raisonner dans une quinzaine et ce, jusqu'à la fin octobre selon les secteurs.

Je sais déjà que je vais recevoir pas mal de messages, essentiellement dans le but d'obtenir des informations géographiques précises que je ne donnerai pas. Tout au mieux une vague localisation et uniquement dans le cadre de personnes que je connais bien et en qui j'ai confiance dans la démarche. Si je devais donner un conseil, pour l'émotion personnelle (avant les conseils pour réussir ses observations et limiter l'impact) ce serait celui-ci : n'essayez-pas de le vivre en "consommateur".

On peut comprendre l'envie d'observer son premier cerf puis de l'approcher pour avoir son souvenir marquant, même si le cerf s'enfuit parce qu'il nous a détecté. Et ne pas forcément y revenir lorsqu'on aura atteint son but après... moult échecs et dérangements. C'est pourtant la méthode qui fait le plus de ravages chez la faune... et procure le moins d'émotions chez l'homme. Une émotion certes forte mais brève, avec un goût de raté et d'intrusion.

Le simple fait de se promener en écoutant le chant des cervidés est un instant magique. S'imprégner, revenir à la nuit, c'est une première approche forte. Revenir, se poster discrètement avec jumelles et/ou longue-vue pour observer plus durablement à une distance raisonnable sera l'étape suivante. Cette construction augmente les chances de réussite, et diminue le risque de dérangement. De ce fait, la satisfaction est entière. Mes meilleurs affûts (pas en terme de belle image mais de grand souvenir) sont ceux pour lesquels l'animal ne s'est pas aperçu de ma présence.

Quant à la photographie, inutile de courir après les cerfs. A force, on obtiendra bien une image, au mieux celle d'un animal nous fixant dans les yeux avec les oreilles tendues, au pire de trois-quarts dos à la course et floue ! Mais quels dégâts !!! Non, pour la photo, il faut prendre le temps. Connaître le terrain sur le bout des pieds, connaître les techniques d'affût, se poster, attendre des heures, rentrer bredouille... jusqu'au jour.

Avec toutes ces précautions, voici un petit best of. Bon brame !

Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
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Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame
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Questions d'automne : 2- le brame
Questions d'automne : 2- le brame

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Rédigé par lta38

Publié dans #brame du cerf

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