Publié le 11 Octobre 2010
En escalade, il y a eu, entre autres, Wofgang Güllich. En musique, dans le domaine des percussions, il y a Simon Philips.
Grimper, glisser, marcher ou tout simplement regarder. Tout (ou presque) ce que l'on peut faire ou voir en montagne (et parfois aussi ailleurs).
Publié le 11 Octobre 2010
En escalade, il y a eu, entre autres, Wofgang Güllich. En musique, dans le domaine des percussions, il y a Simon Philips.
Publié le 10 Octobre 2010
Bon, le brame du cerf s'achevant, il est temps de se remettre au sport. Manque de pot des amis pendent leur crémaillère dans leur nouvelle maison au-dessus de Saint-Martin-d'Uriage. Bon je suis très content d'être invité et d'y aller. On va voir du monde et manger des tas de bonnes choses. Mais il va falloir éliminer et dimanc
he soir, je n'aurai pas le temps. Donc je décide d'éliminer avant. Je prends le bus 31 jusqu'à Eybens et je pars en courant depuis la place de l'Eglise. Le départ est rude et ça monte bien raide. J'essaie de garder un rythme d'échauffement. Passage par Romage où je récupère Mathieu invité lui-aussi à la fête. Ca papote jusqu'à Villeneuve puis Uriage même où le dénivelé est globalement négatif. Puis restent 300 m dénivelé bien raides, en passant par le château puis plus ou moins droit dans les lotissements. On arrive toujours à trouver le bon chemin imaginé sur la carte et, une fois arrivés, on peut passer aux bières. Un bel itinéraire de course à pied.
Publié le 10 Octobre 2010
Les fidèles de ce blog ne peuvent ignorer ces sorties où l'on aurait mieux fait de rester chez soi, où tout se déroule au plus mal. Bon au final rien de grave : pas d'accident, pas de dégâts financiers. Mais une sortie sans aucun intérêt. Il en faut pour redonner l'espoir et faire que les plus belles, celles qui laissent un souvenir impérissable, existent.
Donc me voilà parti pour un affût (le dernier de la cuvée brame 2010 ?) aux cerfs en soirée dans le Vercors. Je pars en début d'aprem pour faire une rando "photo-nature" auparavant et choisir au mieux ma place d'affût. La lumière est dégueulasse, un flux de sud abominable. Pas de quoi sortir une image correcte. Je laisse rapidement tomber la rando. Je ne trouve aucune place d'affût qui m'enchante, aussi je me résigne à une observation à distance mais me permettant d'apercevoir la zone de clairières en entier. Durant plus d'une heure, un abruti fait des allers-retours avec une voiture bruyante, agrémentés de dérapages dans le vallon. Gavant. Le soir tombe, pas un cerf ne sort ni ne brame. Il fait chaud et ça tire à sa fin ici (ce secteur est toujours en avance, 2010 le confirme à nouveau). Pour finir, j'ai oublié ma frontale. En quittant mon poste, il fait presque nuit et il m'est impossible de retrouver mon étui à jumelles tout neuf. Allez, encore une dernière pour la route. Sur la route justement en descendant sur (et dans) Grenoble : des tas et des tas de blaireaux dont on se demande comment ils ont obtenu le permis de conduire (le donne-t-on facilement pour mieux le reprendre ensuite ?). Bon j'avoue : ce dernier point est peut être empreint d'une certaine subjectivité du fait de cette mauvaise après-midi me laissant amer et où j'aurais mieux fait de rester en famille.
Pour finir, la seule image potable du jour.
Publié le 9 Octobre 2010
Chaque récolte de fruits sauvages (framboises, myrtilles, mûres, poires...) s'accompagne de la préparation de confiture qui va avec. Stella se prête volontiers au jeu. Le problème c'est qu'elle passe autant de temps à manger qu'à travailler !
Nos confitures, ce sont des fruits des bois, du sucre et parfois quelques à-côtés (citron, canelle, noix...) et c'est tout pour les ingrédients.
Il est désolant de voir les compositions des confitures (de bien piètre qualité gustative par ailleurs) que l'on trouve dans la grande distribution quand on sait qu'une simple préparation bien faite de fruits + sucre se conserve sans histoires pendant deux ans (au bas mot) rien que par la mise sous vide naturelle qui s'effectue avec le refroidissement suivant la cuisson.
Autre point concernant le sucre. On lit ça et là qu'il faut utiliser du sucre spécial confitures style confisuc, gelsuc ou autres sucres raffinés. Certes, la confiture prend plus rapidement mais quel dommage de mettre ces produits trop raffinés à mon goût avec des fruits ramassés dans son jardin ou dans la nature. Pour ma part, j'utilise du sucre bio de couleur jaunâtre non raffiné, acheté au détail chez Satoriz pour seulement 2 euro le kilo. Moins cher et de meilleure qualité que les autres m..... Si on souhaite un peu d'acidité, il suffit d'un peu de jus de citron ; quant à la pectine, elle est présente naturellement dans les fruits avant mâturité. Il suffit de joindre à l'ensemble quelques fruits pas tout à fait mûrs. Pas besoin donc d'acheter ces produits pur "marketing".
Et pour savoir quand la confiture a pris, il suffit de placer une assiette dans le congélateur et de faire couler dessus une cuillère de confiture bouillante : le liquide doit se figer rapidement. Bon appétit.
Publié le 7 Octobre 2010
Belle après midi d'automne au milieu des noyers de Belledonne avec les filles et la grand-mère venue du sud. L'occasion de repenser à une anecdote vécue la veille dans une école : un enfant de CP m'a demandé, une noix à la main, ce que c'était que ce "ça".
Si je suis pour un mélange des personnes sur tous les domaines (sociaux, culturels, religieux, idéologiques et j'en passe), je ne suis pas en revanche favorable à tout et n'importe quoi de partout. La richesse, d'un pays, d'une région, d'un village, vient en partie de ses racines et je suis pour que chaque site conserve au mieux les traces du passé (et donc ses racines). Il en est de même pour la nourriture : quel dommage de trouver le même pain à Brest ou à Marseille sous de grandes enseignes de farine ! Cette mondialisation qui tend vers une uniformisation serait une catastrophe pour la richesse de l'Homme...
Ne pas connaître la noix à six ans quand on habite Grenoble est signe d'une grande pauvreté d'esprit. En revanche, l'enfant en question connaissait bien Leclerc, Mac Do et la Play Station. Drôle d'époque...
Prendre l'air sur les balcons de Belledonne, lieu royal pour la randonnée paisible en glânant quelques noix par-ci par-là, tombées sur les chemins publics, est une façon de mélanger activité de plein air, ressourcement et connaissance de sa région.
A bientôt pour d'autres balades d'automne