randonnee sportive

Publié le 7 Août 2023

Premier jour pyrénéen. Nous partons pour trois journées d'autonomie totale avec un programme varié : arêtes rocheuses, randonnées alpines, sentiers du vertige... C'est une "combi" intéressant car elle oblige un minimum à se creuser la tête pour ne pas être trop lourd, ce qui nuirait à la progression et rendrait les parties "escalade" plus difficiles.
- Technique : un brin unique de 35 m (25 auraient suffit finalement), 8 dégaines légères, sangles, jeu de Camalots (0,4 au 2), casque.
- Nuitée : tente simple toit + matelas + sac de couchage + mini réchaud et popote titane, lyophillisés
- Vêtements : doudoune, rechange minime, buff, mini gants
- Eau : gourdes filtre 1l chacun (vide au départ) + 1,5 en deux bouteille vides en cas de besoin.
- Bouffe journée : autonomie complète (pas de ravito prévu en refuges)
L'ensemble reste très acceptable mais déjà, nous verrons la différence en partant vraiment légers quelques jours après.

Pour le reste, un petit topo.
- Départ à 8h du cirque de Gavarnie (Parking "haut" - accessible jusqu'à 9h et 5€ par jour, nuit interdite par contre dans le véhicule)
- Approche de l'arête NW du Petit Astazou par le refuge des Espuguettes puis une traversée ascendante hors-sentiers pour rejoindre la rive gauche du petit glacier (mal en point - altitude 2400 oblige - mais du coup, passe en baskets sans crampons). 3h d'approche sans se presser. Se ravitailler en eau au niveau du glacier.
- Arête NW (500 m ; 5a max). Rares pitons en place, se protège très bien, rocher superbe et atypique. Ne pas perdre de temps avec l'inutile et incompréhensible topo de c2c : il suffit de suivre grosso modo le fil avec quelques passages parfois plus faciles sur le flanc gauche. Comme souvent sur ce type d'itinéraire, un topo décrit est vain : on perd du temps à essayer de comprendre alors qu'une fois sur le terrain, il suffit d'ouvrir les yeux. Quasi tout à corde tendue sauf peut-être deux petites longueurs. Moins de 3h.
- Descente versant sud (espagnol) pour aller bivouaquer (compter une petite heure) près du lac de Marboré (parfois appelé lac Glacé ce qui induit une confusion avec le lac/étang glacé (helado) eu pied de la voie normale espagnol du monte Perdido. Bivouac splendide. Eau à profusion.

 

Arête en vue ; glacier
Arête en vue ; glacier

Arête en vue ; glacier

Astazou
Astazou
Astazou

Astazou

Lac de Marboré et monte Perdido
Lac de Marboré et monte Perdido

Lac de Marboré et monte Perdido

Bivouac
Bivouac
Bivouac

Bivouac

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Rédigé par lta38

Publié dans #Pyrénées, #escalade-alpi, #randonnée sportive, #nuitée

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Publié le 23 Juillet 2023

Retour à la maison après cette escapade auvergnate. Un peu de repos et de préparation des futurs projets entrecoupé de petites sorties :

- Avec Stella, Chamrousse qui propose le double avantage d'offrir des secteurs à l'ombre en montagne, appréciable par ces chaleurs, et une approche rapide via les remontées mécaniques. L'occasion de lui faire parcourir cette ligne à la Botte ouverte il y a maintenant trois ans. Au passage, petite digression habituelle sur des sujets connexes. Chamrousse poursuit ses aménagements pour attirer davantage une clientèle d'été. J'ai entendu beaucoup de critiques sur la tyrolienne géante et sur l'aménagement du site de la Croix. A titre perso, étant donné le degré d'artificialisation de la Croix de Chamrousse avant son relooking, je trouve ça plutôt bien fait, intéressant et sans impact supplémentaire. Quant à la tyrolienne, elle  est strictement parallèle aux câbles de la télécabine et à proximité de ceux-ci. Je ne suis donc pas choqué par cette installation. Si dans le même temps, ils en avaient profité pour démonter au moins une des remontées mécaniques de Roche Bé qui fonctionne en parallèle d'une autre (genre un des téléskis), c'eut été parfait pour éviter les critiques et sans nuire au domaine de ski. En revanche, la passerelle de Casserousse est vraiment immonde et n'apporte pas grand chose d'intéressant au regard de la pollution visuelle qu'elle impose. D'ailleurs même Stella n'a pas souhaité aller la voir ("quel intérêt m'a-t-elle demandé ?").

- Avec Damien, une ligne que j'avais repérée dans les dents de Bédina. Elle s'avèrera complètement bouseuse. A force de se dire que ça pourrait être mieux plus haut, et puis, parce qu'on est là, autant aller jusqu'en haut maintenant, on finira au sommet. Il eut suffit de ne pas en parler ; personne n'aurait probablement repéré les rares plaquettes que nous avons posées. Mais je trouve intéressant de montrer qu'on peut parfois faire fausse route, se tromper. Et du même coup, déconseiller totalement le parcours de cette ligne dangereuse. Un mot quand même sur cette voie, nommée blocs en stock, située sur le pilier ouest des dents de Bédina, à droite du couloir des skieurs. A noter que la roche, curieusement eu égard à sa putréfaction, fut particulièrement dure et que forer un trou étant abominable : dix points auront suffit à vider complètement un accu de 5Ah en diamètre 10 !
L1 : 6a, 2 points (+ un point foiré, dégoûté pour la "propreté du truc"). Début sympa et facile, bien protégeante puis de + en + de lichen. Pas de 6a obligé, bien au-dessus du point et gavé de lichen. Puis bout de pierrier (attention aux chutes de pierres) jusqu'au relais. A contourner par la gauche avec seulement un petit pas de 3. Relais 2 points (25 m).
L2 : 4b, 1 point. Dièdre-couloir facile (attention quand même au rocher). Puis sortie dans l'herbe. Relais 2 points (35 m).
L3 : 4c, 2 points. Traversée dans l'herbe à gauche puis remontée d'un mur en zigzag zag. Attention, rocher vraiment pourri. Relais 2 points (30 m)
L4 : 4b. Un passage raide au départ (vraiment gaffe au rocher) puis arête couchée facile mais pourrie jusqu'à un replat. Relais 1 point (35 m).
L5 : En oblique à gauche dans l'herbe jusque vers des dalles grises
​​​​​​​L6 : 3b dans ces dalles grises compactes (contournables) jusqu'au pied de l'édifice terminal (50 m). Aucun point.
L7 : L'édifice terminale est pourri et plein d'herbe donc marche dans des blocs vers la gauche jusqu'à une faiblesse (30 m). Aucun point.
L8 : 3b. sortie sur la crête par cette faiblesse. Quelques passages raides bien prises mais rocher bien pourri. Vraiment gaffe. Descendre faire relais dans le trou derrière. Aucun point. 
​​​​​​​Je note ce descriptif pour ma mémoire perso mais je déconseille fortement de parcourir cette voie sans aucun intérêt que de se mettre en danger. Désolé la montagne pour le dérangement ce jour. Ce coin reste fréquentable en hiver.

- Avec Emie, une "dent express" comme elle la nomme. Il s'agit pour elle de monter le plus vite possible au sommet de la dent de Crolles. Elle n'a pas d'entraînement spécifique pour ce genre d'exercice que nous ne faisons que très rarement. Elle serait plutôt endurante qu'explosive. Cependant, elle améliore son temps significativement (un peu plus de 47' pour 660 m de dénivelé). Redescendus pour le petit déjeuner. L'autre journée peut commercer.

- Seul. Un petit affût au renard à côté de la maison. Je me décide à aller fouiller un pré fraîchement fauché (j'ai déjà vu du renard dans ma rue) et me poster pour observer ce qui se passe. Bingo : belle observation assez prolongée d'un renard. Un secteur à creuser.

Chamrousse, la Botte
Chamrousse, la Botte

Chamrousse, la Botte

La voie à Bédina : clairement infréquentable. Au moins, vous êtes prévenu.

La voie à Bédina : clairement infréquentable. Au moins, vous êtes prévenu.

Le renard et un martinet à ventre blanc
Le renard et un martinet à ventre blanc

Le renard et un martinet à ventre blanc

Classique cette année avec les nombreux orages

Classique cette année avec les nombreux orages

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Rédigé par lta38

Publié dans #Belledonne, #escalade-alpi, #Chartreuse, #randonnée sportive

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Publié le 24 Juin 2023

Je ne suis pas particulièrement assidu dans ce coin mais je suis déjà venu voir cette tour à quatre reprises : deux fois en baskets et deux fois en hiver à skis. Il fallait bien y emmener les filles un jour. C'est chose faite avec poursuite par le sangle de l'aup du Seuil et descente par le pas de Ragris. Il faudra revenir pour l'arche dite Miracle.

Mon dernier passage ici en terrain sec remonte à 2016. Sept ans plus tard, la sente est devenue vraiment marquée. Au-dessus de l'arche, elle emprunte un cheminement désormais plus safe que le couloir originel. On peut considérer qu'en quinze ans, on est passé de rien à un vrai sentier. Il faut dire que la beauté du site nous motive à y revenir, emmener des amis mais surtout donne envie à chacun de le découvrir malgré quelques passages exposés dont un qui relève du domaine de l'escalade quoique court (5 mètres de haut).

Côté matériel, la corde paraît indispensable pour assurer des enfants ou des personnes peu expérimentées. Mais le principal problème est ailleurs. Il s'agit d'une polémique créée par le propriétaire des lieux pour limiter voire interdire la fréquentation du site. La raison invoquée est la dégradation causée par une fréquentation grandissante mais elle semble en cacher une autre : préserver la tranquillité des lieux... pour les chasseurs qui louent ici une fortune (Pascal Sombardier parle de 35 000 € !). D'un certain côté, je partage les inquiétudes du propriétaire : le site est parfois souillé ; il y a des traces de feu sous l'arche même. Des sentes sont en cours de traçage ça et là soit pour faire des photos, soit par erreur étant donnée la fréquentation.

Mais d'un autre côté, il est dommage qu'un tel joyau (unique en France) ne soit pas partagé. Les merveilles de la nature n'intéressent et ne sont à protéger que pour les humains. Les animaux, les plantes, s'en fichent pas mal de ces arches. Ce patrimoine de premier ordre devrait être à la fois préservé et offert aux yeux de tous. Ce n'est pas le cas et je le regrette profondément.

Que dit la loi ? La loi semble autoriser, au nom de la liberté d'aller et venir, la pénétration dans une propriété agricole (en même temps, dès qu'on sort de chez soi, on est chez quelqu'un d'autre et dans la nature, de nombreux terrains sont privés) non close à condition de la respecter (ne rien détruire, ne rien prélever etc). Des lois régissent d'éventuelles dégradations. Je ne connais personne qui ait été verbalisé pour s'être promené ainsi en respectant les règles. Par contre, en cas de rencontre avec le propriétaire, si celui-ci venait à nous demander de quitter son terrain, la loi vous oblige à le faire.

Car des confrontations randonneurs/propriétaire (ou gestionnaire de la propriété, c'est pareil) ont déjà eu lieu ici. Le problème, c'est que si le gestionnaire vous demande de quitter les lieux, il ne peut vous en contraindre par la force (c'est le travail de la gendarmerie). D'où des altercations parfois musclées en cas de refus du randonneur. Cet article d'Aymeric Guittet résume bien la problématique du site. Sachez donc qu'en cas de malchance (rencontre du gestionnaire du site le jour de votre passage là-haut), vous êtes censé quitter le site même si cette demande me paraît regrettable. Pire. Il semblerait, toujours d'après Pascal Sombardier (bien lire son billet complet partagé plus haut) que des chasseurs chercheraient à obtenir une accréditation pour pouvoir verbaliser des randonneurs. La suite pourrait devenir encore plus tendue.

Au-delà de ces règles et de ces états de faits, le combat lancé par le propriétaire semble perdu d'avance. Il ne peut pas surveiller h24 l'ensemble du site par lequel on peut arriver de tous horizons. Il ne peut pas clôturer l'intégralité de sa propriété. Et quand bien même, il y a fort à parier que des rebelles démontent une partie de ces clôtures. Comment empêcher des milliers de gens d'aller voir ces merveilles de la nature, aux portes d'agglomérations totalisant près de deux millions d'habitants ?

Alors que faire ? Je me suis toujours demandé pourquoi on ne profiterait pas du statut de la réserve naturelle pour créer, pour la tour Percée (et l'arche Miracle) deux balisages discrets avec petits panneaux indicateurs afin de canaliser les randonneurs et en parallèle, interdire tout ce que le statut de réserve naturelle peut se permettre ? Ainsi, on aurait deux sentiers précis (comme maintenant) mais pas les égarements au-delà qui seraient interdits, pas de feu, pas de bivouac (cela apparaît évident compte tenu de la fragilité du site associée à sa fréquentation). En faisant ainsi, les randonneurs y trouveraient leur compte (ne pas se perdre sur le terrain et pouvoir admirer ces arches sans conflit) et le gestionnaire éviterait que ça divague ce qui serait mieux qu'actuellement pour la gestion de sa chasse privée.

La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée
La tour Percée

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Rédigé par lta38

Publié dans #Chartreuse, #randonnée sportive

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Publié le 18 Juin 2023

On en perd un peu la boule avec la nomenclature des sommets de ce coin du Dévoluy. Outre la Norvège et ses trente-six Skarven, je n'ai pas souvenir d'un tel autre méli-mélo dans les Alpes. A en croire la carte IGN (et les panneaux signalétiques sur place), l'histoire se passe au-dessus des hameaux des Bas et des Hauts-Gicons, avec un C et un S. Mais la montagne qui le domine s'appelle la montagne de Saint-Gicon, sans le S donc. Et son point culminant est le Gigon, avec un G ! Un peu en-dessous se trouve le Piéroux (é + 1r) mais un peu plus haut, c'est le pic Pierroux (avec deux r et donc logiquement sans accent). Pour couronner le tout, le Piéroux, petit sommet fort pointu sur lequel se situent de magnifiques voies d'escalade, s'appelle aussi le pic Crillon (avec un C). A ne pas confondre avec le magnifique pic Grillon (un G !) situé juste de l'autre côté de la crête. Un intéressant imbroglio toponymique sur toute cette partie nord de la branche orientale du Dévoluy. D'ailleurs, en recherchant quelques liens (dont je m'étais servi pour préparer la course) afin d'étayer la suite de mon billet, je m'aperçois en écrivant ces lignes que je ne suis pas le seul à me poser ces questions : quelques éléments de réponse ici.

Le Dévoluy est un massif calcaire situé aux confins de l'Isère et des Hautes-Alpes. Séparé en deux par la Souloise, il est constitué de deux chaînes de montagnes abruptes aux allures parfois dolomitiques (toutes proportions gardées) et de point culminant de proche altitude (entre 2700 et 2800 m). A l'est, le chaînon de Bure s'étend, du sud au nord, du pic de Bure (voir la célèbre voie Desmaison) au Pierroux en suivant la chaîne de Faraut. A l'ouest, nous trouvons les sommets les plus prisés du massif, principalement entre l'Obiou (point culminant, tout au nord) et la tête de Garnesier, en passant notamment par le Grand Ferrand, la tête de l'Aupet ou encore le rocher Rond.

Nous resterons au nord et à l'est. En ce premier jour de ce mini-séjour, nous voici sur l'itinéraire vertigineux décrit par Pascal Sombardier. Enfin, pas tout à fait. Des Hauts-Gicons, nous montons au pic Pierroux par la voie normale avant de rejoindre le départ de la grande vire en face est moyennant une courte descente (un pas délicat en désescalade). Cette vire traverse toute la face est en descendant régulièrement. A la fin, il faut remonter au pas de l'Arche. De là, nous avons suivi une fois de plus le cheminement de Pascal en face nord, passant à la grande baume et vers l'Aiguillette. C'est vraiment très beau.

Quelques remarques :
- Ce départ versant sud du pas de l'Aup réduit le dénivelé à environ 1400 m et supprime la longue approche depuis le Monestier-d'Ambel. Mais il ne permet pas de faire le bas de la face nord du pas de l'Arche. Un autre avantage est de ne pas avoir à bouger si on décide de grimper dans le secteur des Gicons comme nous le lendemain.
- Pas d'eau sur l'ensemble de l'itinéraire. Et full soleil. Un litre chacun c'était un peu juste.
- Pas de difficulté technique dans la vire est (sauf un passage de cinq mètres en traversée terreuse). MAIS il semble relativement peu parcouru au regard de la qualité de la trace (rien à voir avec les "boulevards" des sangles de Chartreuse). Après coup, je me demande si ce sens est le plus judicieux (descente) : c'est quand même bien craignos. Certes, encore une fois, c'est facile mais il n'y a absolument pas le droit à l'erreur. Je pense que dans l'autre sens, surtout si on arrive par le bas du pas de l'Arche, c'est bien plus tranquille.
- Je n'y emmènerais pas mes filles. Ne pas compter sur un quelconque assurage
- Itinéraire majeur et magnifique.
- Pas croisé le moindre bipède de la journée, jusqu'à notre retour au niveau de la cabane de l'Aup où nous avons pu compter, sur les doigts des deux mains, quelques promeneurs du début de l'après-midi.
- Flore et faune remarquables. Je ne détaille pas et vous laisse découvrir
- Compte tenu de deux pas d'escalade en 2/3 + grande exposition et pied sûr indispensable, je rangerais cette course dans le niveau F de l'alpinisme.
- Un grand merci à Pascal Sombardier pour le partage de ces découvertes

Montée au pic Pierroux.
Montée au pic Pierroux.
Montée au pic Pierroux.
Montée au pic Pierroux.

Montée au pic Pierroux.

Sommet et petite désescalade pour rejoindre l'entrée de la vire, au sud du sommet
Sommet et petite désescalade pour rejoindre l'entrée de la vire, au sud du sommet

Sommet et petite désescalade pour rejoindre l'entrée de la vire, au sud du sommet

Sur la vire. Pas la plus belle lumière ce jour mais l'ambiance est là
Sur la vire. Pas la plus belle lumière ce jour mais l'ambiance est là
Sur la vire. Pas la plus belle lumière ce jour mais l'ambiance est là

Sur la vire. Pas la plus belle lumière ce jour mais l'ambiance est là

Pas de l'Arche
Pas de l'Arche
Pas de l'Arche

Pas de l'Arche

Grande baume

Grande baume

Après-midi et soirée paisibles
Après-midi et soirée paisibles

Après-midi et soirée paisibles

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Rédigé par lta38

Publié dans #Dévoluy, #randonnée sportive, #escalade-alpi

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Publié le 8 Mai 2023

Il faut aller les chercher malgré ce printemps pourri. Du brouillard, de la pluie et au final, une renaissance de la nature ralentie. On devrait peu ou prou se retrouver dans les dates habituelles alors que l'hiver laisser présager une belle avance. La Chartreuse n'aura pas manqué ce jour de se cacher derrière d'épais nuages. Les cerfs étaient de sortie, les mouflons, les marmottes, les jonquilles...

Même avec une météo capricieuse, le printemps reste probablement la plus belle des saisons. Nous l'avons encore vérifié en Chartreuse occidentale ce jour-là. Et nous n'étions pas les seuls.

Jonquilles, merle à plastron et mouflons
Jonquilles, merle à plastron et mouflons
Jonquilles, merle à plastron et mouflons
Jonquilles, merle à plastron et mouflons

Jonquilles, merle à plastron et mouflons

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Rédigé par lta38

Publié dans #Chartreuse, #animaux, #randonnée sportive

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