Publié le 31 Janvier 2021

Elle n'avait pas été anticipée. C'est finalement le bulletin de samedi qui laissait entrevoir cette belle fenêtre. Avec les températures qui allaient rapidement remonter en journée, il fallait être réactif dès le matin. Ce ne fut globalement pas le cas si j'en crois mon arrivée à 9h30 sur ce sommet fréquenté, sans la moindre trace.

La tactique du jour concernait également (et surtout) le risque d'avalanche. Pour éviter de se casser la tête (voire les dents), il suffisait de rester sous 2200 m et d'être vigilant dans les pentes dépassant les 30-35 degrés. Par ces conditions, je m'abstiens de les remonter et ne traîne pas en descente, en évitant les sections raides trop soutenues.

Me revoici donc sur Allevard. En même temps, le ski y est tellement bon... Sans oublier que pour la qualité, il fallait aussi rester au-dessus de 1500 m et donc, éviter la majorité des départs du Dauphiné, souvent bien bas.

Des rencontres sympathiques, quelques animaux (chamois, lagopède...) et de belles courbes avant le réchauffement de la mi-journée, et le tempête prévue le lendemain.

Ephémère fenêtre
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Rédigé par lta38

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Publié le 27 Janvier 2021

Il n'aura pas fallu bien longtemps pour voir en direct la réalisation des prévisions de la veille. Départ de la maison à 13h30 ; il semble neiger sur Belledonne mais pleuvoir sur la Chartreuse. Lorsque je dépose les filles au foyer de fond du Barioz à 1400 m, c'est un crachin breton qui s'invite. Fort heureusement, celui-ci ne dure pas. Je redescends poser la voiture au col du Barioz quelques 300 m de dénivelé plus bas et monte au pas de course pour les rattraper. Avec la température et l'humidité ambiante, le t-shirt est à tordre. Je les rejoins sous le petit mur vers 1700 m et nous terminons ensemble l'ascension du Grand Rocher sous une petite neige humide mais avec une bonne visibilité et, chose rare ici, absolument seuls.

Le haut de la descente est plutôt bonne mais la neige commence à s'humidifier et sous 1700 m, ça colle un peu. Fort heureusement, avec les nombreux passages de la veille sur cette course ultra classique, la suite est complètement damée et le ski restera très agréable jusqu'en bas. 

16h au col du Barioz. Encore une jolie petite sortie pour elles. Leur premier "demi" Grand Rocher seules (la seconde moitié avec leur père donc) et vraiment seules (car la montagne était pratiquement vide d'humains) et une descente presque deux fois plus longue que la montée. Voici qui achève leur première partie de saison avec tout pile dix sorties à skis de randonnée. Tout en étant très modestes, ces sorties auront mis en évidence leurs progrès :
- Rythme "client" (ou "Toponeige") de 400 m/h en montée arrêts compris, sur des profils au demeurant peu raides.
- Bon ressenti au niveau accroche des peaux dans les passages raides
- Geste de la conversion (amont) efficace en cours d'acquisition
- Manip' rapide acquise : levier, talonnière, peau, chaussage
- Appropriation des neiges profondes

Juste à temps
Juste à temps
Juste à temps
Juste à temps
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Rédigé par lta38

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Publié le 26 Janvier 2021

Depuis le jour de Noël soit très exactement depuis un mois, nous bénéficions sur les Alpes du nord de conditions exceptionnelles pour le ski. Le mot exceptionnel ne signifie pas que les quantités de neige dépassent les records ; ni même que le soleil règne en maître. Non, l'exceptionnel est à prendre en compte pour la qualité de la neige proportionnellement à l'espace disponible. En effet, nous avons reçu des chutes de neige régulières, souvent modestes (de 15 à 30 cm, parfois davantage) mais assez nombreuses, permettant d'effacer les anciennes traces (je considère la neige "trafollée" comme médiocre à skier) tout en améliorant peu à peu l'épaisseur et donc diminuant du même coup le risque de touchettes. Et cette situation s'est produite au moment où le soleil est au plus bas de l'année, avec des températures conformes aux normales, ce qui a permis de conserver de la poudreuse quelle que soit l'orientation de la pente. En ce sens, tous les itinéraires suffisamment enneigés promettaient du très bon ski. Pour s'en convaincre, il suffit de revoir sur ces pages la (grosse) vingtaine de sorties glisse effectuée durant cette période... Il était inutile d'être un expert pour trouver de la bonne neige.

Etat des lieux
Pour une fin janvier, l'enneigement est excédentaire sur les Alpes du nord, assez uniforme à partir de 1500 m du Vercors au Léman. Comme en témoigne cette image prise sur le site meteofrance pour le massif de Belledonne (ci-dessous à gauche), il est largement excédentaire en moyenne montagne (et encore plus sur les Savoie vers 1000 m) et plutôt conforme aux normales en altitude. Cela reflète bien des précipitations non exceptionnelles en terme de quantité mais accompagnées de froid pour les conserver à basse altitude. Pour les Alpes du sud, le froid a également permis la conservation de la neige en bas et donc, un enneigement un peu supérieur à la moyenne à 1500 m. En revanche, il est déficitaire en altitude faute de perturbations méditerranéennes d'ampleur suffisantes. Ci-dessous (à droite), le croquis pour l'Embrunais - Parpaillon. A noter qu'habituellement, si l'écart Alpes du nord / Alpes du sud est presque systématiquement marqué en faveur des premières en-dessous de 2000 m (ce qui se vérifie nettement encore cette année), cette règle l'est beaucoup moins en altitude où cela dépend des saisons. Et cette année, l'écart est particulièrement marqué (de l'ordre de 3/1 pour le nord).

Belledonne / ParpaillonBelledonne / Parpaillon

Belledonne / Parpaillon

Fin de partie
Cette situation remarquable pour le skieur est désormais terminée. On pourrait rêver d'un hiver de quatre ou cinq mois comme cela mais... il ne faut pas rêver. Les prévisions à quinze jours montrent un changement de temps. On note sur le modèle de la Clusaz (Haute Savoie, 1200 m d'altitude - copie d'écran du site meteoblue) que les perturbations douces vont s'enchaîner. Avec un anticyclone positionné sur les Açores et prolongeant une sorte de dorsale sur l'Espagne, on entre en effet dans une situation typique du régime d'ouest, pouvant parfois être assez doux ce qui semble être le cas.

Fin de partie

Conséquences
Outre un temps perturbé, peu propice aux sorties contemplatives en altitude, il faut s'attendre à une dégradation globale des conditions :
- Probablement partout en-dessous de 1500 m avec, au mieux, une neige mouillée, au pire un déluge. L'Isère sera (et le Vercors en tête de liste), comme d'habitude dans ce cas, en première ligne de la dégradation. Le Beaufortain, la haute vallée de l'Arve (le Tour) et la Tarentaise pourraient résister. Mais combien de temps ?
- Des accumulations importantes au-dessus de 1500 (pour les secteurs les plus favorables) et 2000 m plus à l'ouest, faisant que le cumul deviendra excédentaire pour la saison, et le risque d'avalanche provisoirement très élevé.
- Espoir ? Ces situations d'ouest qui s'enchaînent font souvent le yoyo et on peut espérer que l'alternance de l'isotherme zéro degré permette de conserver une limite basse de la neige (pour le skieur) tout à fait correcte. En outre, étant données les quantités en place, la neige ne disparaitra pas du jour au lendemain même s'il pleut en continu (enfin, on espère ne pas revivre une situation comme en février 1990...). En fin de période, il est fréquent que cela se termine par un basculement du flux au nord-ouest abaissant la limite pluie-neige et surmontant la couche neigeuse fortement humidifiée par plusieurs centimètres de poudreuse permettant du bon ski.

En attendant d'y voir plus clair, on se repasse le film de ces derniers jours de ski, secteur Belledonne, fiefs du Collet et du Barioz où j'aurai encore réussi à découvrir de nouvelles sections dans des forêts très bien enneigées !

Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
Fin de partie
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Rédigé par lta38

Publié dans #ski-glisse, #Belledonne, #nivo-météo

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Publié le 23 Janvier 2021

Une fenêtre d'une demi-journée. Une nouvelle chute de 25 cm de neige remettant les paysages "à neuf" après deux jours de mini redoux. Des conditions délicates en montagne. Rien de tel pour rempiler avec les filles sur une balade forestière. Cette fois, il s'agira de gérer le slalom entre les arbres à la descente. La chance de pouvoir faire sa trace en s'écartant un peu de la ligne classique prisée par les raquettistes et quelques skieurs permettra aussi aux filles de tracer un peu et anticiper les endroits où il faut faire la conversion afin de ne pas être obligé d'en faire une autre cinq mètres plus loin ou de se prendre des branches dans le visage. Et une bonne glisse à la descente durant lequel le ski s'enfonce juste ce qu'il faut pour le plaisir.

Le plus compliqué restera la route avec des pneus qu'il est temps de changer : j'ai failli ne pas pouvoir remonter au col du Granier à cause d'un véhicule qui remontait à la vitesse d'un cycliste alors que justement, en montée, il faut garder de la vitesse pour éviter de se faire coincer. Inversement, à la descente, prudence pour bibi mais pas pour un prédécesseur qui glisse et finit sur le toit dans un ravin. Beaucoup de peur mais aucun mal. En résumé sur la neige : de bons pneus, avoiner en montée mais rester modeste dans les descentes.

Chartreuse, la Cochette depuis le Désert d'Entremont.

Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse
Glisses en nord Chartreuse

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Rédigé par lta38

Publié dans #Chartreuse, #ski-glisse

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Publié le 22 Janvier 2021

Pour comprendre l'essence de ce retour, il est nécessaire de connaître mon parcours photographique côté matériel. Après avoir eu trois reflex 24x36 de 1986 à 1999, je suis passé au compact 24x36 (toujours argentique) pour le transport en montagne (sauf photo animalière) et il a fallu attendre 2003 pour que je dispose de mon premier appareil photo numérique. Autant dire que quand je regarde aujourd'hui les images faites avec ce premier "APN", je mettrais bien tout à la poubelle s'il ne s'agissait pas de conserver des souvenirs. Et cela jusqu'en 2008 avec d'autres compacts/bridges à (tout) petit capteur. A partir de là, les choses ont changé et j'ai souvent jonglé entre deux systèmes, un reflex et un léger.
- 2008 : Canon EOS 450 D (APS-C)
- 2010 : Canon S95 (compact)
- 2013 : Canon EOS 60D (APS-C, remplaçant le 450D)
- 2014 : Panasonic GM1 (MFT, remplaçant le S95)
- 2016 : Canon EOS 6D (FF, remplaçant le 60D)

Je suis donc habitué depuis 5 ans aux images plein format et je dois dire que le petit Panasonic, qui me rend bien des services de par sa compacité, est loin du compte et me sort presque par les yeux, notamment en raison de la (très mauvaise) qualité des RAW niveau colorimétrie. Malgré tout, il y a une différence énorme dans le sac à dos (et encore plus fixé sur la bretelle par le système Peak Design) entre ce dernier et son petit 24-62 (300 g) et le 6D accompagné du 17-35 (1300 g) Tamron !!!

Je cherchais donc une solution qui me permette de conserver la qualité d'image (voire l'améliorer encore un poil) en réduisant significativement les critères poids/encombrement dans l'unique but d'emporter plus souvent le "gros". Cela ne pouvait passer qu'en changeant de système. Il existait des solutions APS-C mais :
- Le système Canon EF-M est quand même orienté très amateur au niveau des optiques natives. Sera-t-il pérenne d'ailleurs ?

- Le système Fuji est vraiment cher pour de l'APS-C
- Le FF c'est quand même autre chose...

En restant en plein format, l'idée était de passer sur un hybride FF Canon (donc gamme R) et changer petit à petit les optiques, les anciennes EF restant 100% exploitables moyennant les 125 g de la bague d'adaptation. Le petit EOS RP s'est naturellement imposé, étant le plus petit appareil photo full frame du marché avec le Sony A7C. Et ce, malgré ses performances limitées : quand on maîtrise bien son matériel, ce qui fera la différence ne sera pas le boîtier mais la qualité des optiques qu'on mettra dessus et la présence du photographe au bon endroit et au bon moment. On verra peut-être dans quelques années pour un boitier performant.

Le constructeur n'a pas menti

Le constructeur n'a pas menti

Intéressons-nous maintenant de plus près à ce petit RP.

  • Le capteur : 26 mp. C'est une belle définition et un net progrès par rapport à mon 6D (20 mp), permettant un recadrage supplémentaire si besoin. En parallèle, les capteurs classiques actuels plein format sont de 24 mp (Sony A7III, Nikon Z5/6, Lumix S1/5).
  • Le boitier. Il ne pèse que 483 g avec la batterie là où le 6D atteignait les 780 g. C'est le plein format le plus léger du marché ; même le Sony A7C, un poil plus compact, reste 20 g au-dessus. Avec de nombreux joints d'étanchéité, il est annoncé "tous temps". Un bon point pour une utilisation extérieure comme celle que j'en fais.
  • L'AF Dual Pixel est considéré aujourd'hui comme le plus performant du marché. Sur le 6D, on disposait de seulement 11 collimateurs ! Le RP utilise presque 90% de la surface du capteur et s'appuie sur près de 5000 points. Avec en plus une sensibilité de -5EV, l'AF du RP paraît efficace et est un progrès pour moi, même s'il n'atteint pas celui du R6, notamment pour le suivi.
  • La rafale est poussive, parmi ce qui se fait de moins bien sur le marché. Il faut bien "justifier" l'entrée de gamme. Seulement 5 im/sec. A titre personnel, pour 95% des photos que je fais, cela me suffit... et me facilite le tri d'après ! Et ce n'était pas mieux sur le 6D... avec un buffer plus vite saturé. J'ai donc encore gratté un peu. A noter que sur le 6D, en mode silencieux (qui restait plus bruyant que l'obturateur du RP, on tombait à 3,5 im/sec)
  • Le viseur (2,36 mp, grossissement 0,7). Je l'ai trouvé un poil plus agréable que celui de l'A7III de mon père malgré une définition égale et un grossissement légèrement supérieur. On notera que le dernier né de cette même marque, l'A7C, conserve la même définition mais un grossissement de seulement 0,59... Le viseur du RP est donc de qualité au regard de ce qui se fait aujourd'hui. En basse lumière, je m'y suis totalement fait. En revanche, en plein jour et notamment dans la neige, il demande une adaptation.
  • La prise en mains est bonne avec une poignée bien grippée. Les deux molettes de réglage personnalisables tombent sous le pouce et l'index droit. Elles me permettent de régler rapidement le diaph (je travaille presque exclusivement en mode AV = priorité ouverture), les ISO (avec la touche m-Fn juste à côté) et l'éventuelle sur(sous)-exposition volontaire. Je regrette toutefois l'absence d'écran supérieur, conservé sur les autres modèles Canon. Ainsi que la roue-commutateur on/off main gauche pas très pratique : pourquoi ne pas avoir conservé le petit cran de l'EOS 6D qui tombait naturellement sous le pouce gauche ?
  • L'écran monté sur rotule est efficace et gagne en précision sur celui du 6D.
  • Capteur. Le boitier n'est pas stabilisé (contrairement au R6) mais il paraît que le capteur exploite les informations d'un objectif stabilisé pour améliorer les performances stabilisatrices. Personnellement je ne suis pas capable de faire une comparaison sans un test précis... que je n'ai pas fait. Etant personnellement très stable, cet argument n'est pas ma priorité.
  • Montée en sensibilité. Les images sont excellentes à 3200 ISO et demeurent très bonnes à 6400 ISO. A 12800, c'est encore largement exploitable. Il me semble qu'il y a un progrès perceptible par rapport au 6D, d'au moins 1/2IL. Voir les tests.
  • Format des images. Le CR3 existe en compressé, permettant de diviser par deux ou trois le poids des images. Je n'ai pas d'avis pour le moment sur l'inconvénient de cette compression. A noter que les images RAW restent un peu sous les 30 Mo là où celles de l'A7III, pourtant un peu moins bien défini, approchent 50 Mo. Je ne sais pas d'où vient cette différence mais ne m'en plaindrai pas.
  • Prise de vues nocturne. Il paraît qu'il y a un mode fort intéressant. Non essayé à ce jour.
  • Mode silencieux. Dommage qu'il ne soit utilisable qu'en mode scène !!! Cependant, l'obturateur reste moins bruyant que celui du 6D et son claquement de miroir. Y compris lorsque ce dernier était en mode dit "silencieux", qui tombait la rafale à 3,5 im/sec. (oui je sais, déjà dit plus haut).
  • Autonomie : le RP est annoncé 230 vues. Fort heureusement, la réalité est tout autre. Avec deux batteries supplémentaires (dont le poids équivaut à celui d'une LP-E6), on n'est finalement pas si mal du tout. Notez plutôt :
    - Première série, sans faire attention à quoi que ce soit (utilisation de l'écran, rafales...) : 429 vues
    - Deuxième série, un peu plus avare sur la rafale : 500 vues
    - Troisième série, rafale régulière mais aucune utilisation de l'écran, visualisation sur EVF si besoin : 849 vues
    Il semblerait que la clé soit de visualiser les images sur le viseur et non sur l'écran pour optimiser l'autonomie. J'ai lu qu'avec les plus grosses batteries (LP-E6 dernière génération) de l'EOS R5 annoncé à moins de 500 vues, des photographes pros avaient réussi à dépasser très largement les 2000 images !!!

Un dernier point, et pas des moindres : le tarif. Avec 1300€, bague d'adaptation EF/RF incluse, c'est tout simplement, et de loin, le moins cher des boîtiers hybrides plein formats actuels (je ne parle pas d'anciens modèles type A7II dont il resterait des fonds de cartons). A noter qu'en étant attentif à l'évolution des tarifs, on peut l'obtenir moins cher sans passer par des sites en ligne peu recommandables. Je l'ai trouvé à 1150€. Attention à ne pas céder à une offre sans la bague : elle est actuellement très difficile à trouver seule et ce serait dommage d'acquérir un boîtier neuf et de devoir attendre d'y monter ses optiques EF. On notera également l'offre Canon "créer votre kit" qui permet d'obtenir des remboursements à l'achat de ce RP et d'une optique de cette liste.

Comparaison 6D / RP / GM5, nu et avec objectif standard de type 24-105 (site camerasize)
Comparaison 6D / RP / GM5, nu et avec objectif standard de type 24-105 (site camerasize)

Comparaison 6D / RP / GM5, nu et avec objectif standard de type 24-105 (site camerasize)

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Rédigé par lta38

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